« Qui a dit que l’argent ne pousse pas sur les arbres Plex ? » Voilà, chers lecteurs, qu’un nouveau chapitre s’écrit pour Plex, la startup qui a su transformer chaque salon en cinéma privé. Le petit poucet des médias a grandement évolué, engrangeant de juteux revenus grâce à son streaming adossé à la publicité. Tenez-vous bien, Plex vient de lever plus qu’à son dernier tour de table, il y a quelques années, pour un montant qui reste encore secret. Mais entre nous, on est là pour chasser le mystère, pas le révéler !
Keith Valory, le PDG de Plex, qui n’hésite pas à se comparer à une licorne (rien que ça !), garde les sabots sur terre quand il s’agit de notre question préférée : « Combien ? ». Mais il peut compter sur la fidélité de ses investisseurs, décidément plus discrets que notre tante à la messe du dimanche. Ceci dit, ils persistent et signent pour un nouvel investissement qui concerne les habitués de la série C.
« Plex lève un montant mystère pour dérouler le tapis rouge vers la rentabilité! »
Ce tour de magie financier n’attriste guère Valory, qui semble avoir le don de convoquer les dollars par magie. « Nos investisseurs croient en nous comme en la Sainte-Plex ! », pourrait-il s’exclamer. Le trésor amassé servira à propulser Plex vers des sommets de rentabilité d’ici fin d’année, sinon un peu après le dessert.
Mais ne pensez pas que Plex se repose sur ses lauriers numériques dorés. La plateforme, autrefois simple étagère virtuelle pour les collections de médias des cinéphiles en pantoufles, est désormais une véritable ménagerie multimédia. Vous pouvez aussi bien profiter d’un film financé par l’affichage publicitaire que découvrir les perles rares de la musique, tout en partageant vos découvertes avec vos amis. On murmure même que de nouvelles fonctionnalités sociales vont pointer le bout de leur nez au fil de l’année.
Et Plex ne s’arrête pas là : une marketplace de location de séries et de films est sur le point de voir le jour, faisant de Plex le nouvel ami des soirées canapé. Bien que la société ait connu des turbulences, avec des licenciements dus à la baisse du marché publicitaire, leur revenu ad-supported a gonflé de près de 45% en 2023. Inutile de dire que la machine Plex carbure plutôt bien, et le compteur de la rentabilité s’affole déjà !
Le plus croustillant dans tout cela ? Plex, avec son œil de lynx sur nos habitudes de consommation de médias, s’apprête à basculer du côté encore plus lumineux de la Force : monétiser ces données sans jamais dévoiler notre identité secrète de binge-watchers. Valory se frotte déjà les mains : si tout va bien, cet océan de données pourraît faire de l’ombre à la croissance actuelle – et qui sait, de Plex un véritable titan des médias.
Source : Techcrunch