« L’amour, c’est comme la Wi-Fi, on lutte pour se connecter mais quand on y est, on découvre qu’il y a peut-être des frais cachés ! » – Anonyme, probablement un utilisateur de Tinder déçu. Parlant de l’amour au temps des technologies, voici une mise à jour croustillante pour ceux qui cherchent l’âme sœur en balayant l’écran à droite : le groupe Match, titan des applications de rencontres, est comme un célibataire au premier rendez-vous avec le récent Digital Markets Act (DMA) de l’UE – c’est compliqué!
Chez Match Group, la maison-mère de Tinder, OkCupid et autres cupidons digitaux, le CEO Gary Swidler a lancé des regards timides à la législation européenne en avouant qu’ils n’étaient pas encore sûrs de la manière dont ils allaient ‘swiper’ vis-à-vis de ces nouvelles règles de jeu. C’est comme choisir entre une mystérieuse rose et un cactus – l’un promet des moments doux, mais l’autre pourrait piquer!
Quand Apple a déroulé le tapis rouge de sa réglementation DMA, impliquant de nouvelles structures de commission pour les apps distribuées en UE, les grandes pointures tech ont vite compris que la réduction tant espérée n’est pas si évidente. Entre le rock et un endroit tarifé, voilà que Epic Games et Spotify sortent les griffes, tandis que Microsoft hoche timidement la tête. Match veut éviter le match nul et trouver un chemin litigieux vers la victoire.
« Nous réfléchissons encore » est le nouveau « C’est compliqué » dans la relation entre Match Group et les réglementations de l’UE.
Cependant, Swidler reste optimiste et garde un œil sur le prize, car même si la pomme d’Apple est tentante, la Commission européenne peut encore refuser la première bouchée. Comme un feuilleton qui se prolonge, le dénouement potentiel de cette saga commerciale reste enchâssé dans les limbes réglementaires.
Et comme pour tout bon suspens, les répercussions de ces règles ne se limiteraient pas seulement à l’UE. Les États-Unis, observe Swidler avec espoir, pourraient succomber au charme et suivre l’exemple européen; une aubaine pour Match qui aimerait bien que l’amour (et la monnaie) soit libre des deux côtés de l’Atlantique.
En somme, Match Group finance son rendement comme un pot de crème glacée après une rupture — avec des résultats à faire fondre les cœurs actionnaires. Avec un bénéfice par action grimpant plus haut que l’Everest des originaux et des revenus flirtant avec les étoiles, Match peut bien se permettre un peu de patience pour voir comment se déroulera la cour européenne.
Source : Techcrunch