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La crise de confiance chez Byju’s est-elle un tournant pour l’edtech indienne ?

Les investisseurs sont-ils à bout de patience avec Byju’s? Un groupe de grands investisseurs de Byju’s vient de réclamer une assemblée générale extraordinaire (AGE) afin de provoquer des changements de direction, seulement quelques jours après que l’entreprise ait lancé une émission de droits à une valorisation pré-argent de 25 millions de dollars. Comment ces tensions ont-elles émergé et que cherchent exactement à accomplir les investisseurs avec cette AGE?

La requête pour une AGE fait suite à des « mois d’efforts continus » pour résoudre les « problèmes persistants » chez Byju’s, selon les investisseurs concernés. Quels sont les enjeux sous-jacents à cette crise et quels problèmes de gouvernance et de gestion financière ont pu contribuer à cette escalade?

Les investisseurs appellent à une AGE en raison de problèmes de gouvernance persistants et veulent changer la direction chez Byju’s.

Des investisseurs influents tels que Prosus, General Atlantic et la Chan Zuckerberg Initiative, entre autres, demandent cette AGE. Mais quels motifs précis pourraient expliquer leur insatisfaction soudaine et leurs actions drastiques?

Quelle est l’ampleur de la dispute entre les fondateurs de Byju’s et ses investisseurs, sachant que des membres éminents du conseil administratif, y compris Prosus et la Chan Zuckerberg Initiative, ont démissionné de façon abrupte l’année dernière? La démission de l’auditeur mondial Deloitte apporte-t-elle du crédit aux griefs mentionnés?

Byju’s, valorisée à 25 millions de dollars en pré-argent lors de son émission de droits, vise à lever 200 millions de dollars pour couvrir ses dettes et frais opérationnels. Cependant, ce changement brutal de valorisation reflète-t-il une crise plus profonde au sein de la start-up la plus valorisée d’Inde?

Le fondateur de Byju’s, Byju Raveendran, a adressé une lettre aux actionnaires sollicitant leur soutien continu, en déclarant avoir effectué des « sacrifices personnels immenses pour le bien de l’entreprise ». Comment ces « sacrifices » se traduisent-ils dans la réalité financière de Byju’s, sachant qu’il a investi, avec d’autres fondateurs, 1,1 milliard de dollars dans la start-up, dont une grande partie en capital emprunté au cours des 18 derniers mois?

Confrontés à une situation aussi volatil, quel sera l’avenir de Byju’s après l’AGE, et comment affectera-t-elle la confiance des investisseurs dans le secteur des technologies éducatives en Inde?

Source : Techcrunch

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