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Credits image : Rio Lecatompessy / Unsplash

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Investissements VCs : La fin justifie-t-elle les moyens dans la fast fashion?

Comment l’industrie de la mode rapide arrive-t-elle à générer tant d’argent malgré les controverses qui l’entourent? Le secteur de la fast fashion, emmêlé dans des problèmes de main-d’œuvre et de droits d’auteur, exerce également un impact environnemental considérable en raison de ses eaux usées et de ses émissions de carbone. Pourquoi, alors, les investisseurs semblent-ils toujours aussi épris par cette industrie lucrative?

Les sociétés de capital-risque (VCs), insensibles aux conséquences néfastes de cette industrie, continuent-elles à injecter de l’argent sans se soucier des implications éthiques? En dépit de ses nombreux problèmes, le secteur semble attirer leur amour inconditionnel.

Mercredi dernier, un de mes collègues a mis en lumière une nouvelle prospective; Accel pourrait investir dans Newme, une startup indienne de fast fashion. Produisant 500 nouveaux articles chaque semaine pour une somme modique de 10 dollars l’unité, Newme a-t-elle quelque chose de spécial pour attirer l’attention d’Accel juste après la clôture de son tour de financement initial? Que cherchent exactement ces VCs dans de telles entreprises?

De leur côté, Accel et Newme restent silencieux face à nos demandes de commentaires. Cet investissement potentiel cache-t-il des enjeux ou des ambitions que nous n’avons pas encore percé à jour?

L’investissement d’Accel dans Newme révèle-t-il un nouveau tournant ou de simples affaires comme de coutume?

Par ailleurs, Newme s’apparente à d’autres startups de fast fashion bénéficiant du soutien des VCs tels que Shein avec 4 milliards de dollars levés, et Cider, une startup soutenue par Andreessen Horowitz et valorisée à 1 milliard de dollars. Cider prétend proposer une alternative plus éthique grâce à son inventaire sur demande. Mais peut-on réellement parler d’éthique dans la mode rapide?

Qu’est-ce qui pourrait bien justifier l’intérêt continu des VCs dans ces entreprises, alors même que la rapidité de production repose souvent sur des matériaux bon marché et une main-d’œuvre sous-payée, sans parler des accusations de plagiat de designs? Ce modèle est-il durable, ou bien est-ce simplement l’affaire du moment pour ces investisseurs?

Les entreprises de la mode rapide ont gagné rapidement en popularité et en suivi grâce à leur capacité à transporter les vêtements des podiums aux magasins locaux en un temps record. Est-ce la vitesse qui justifie les moyens? Quand et comment est-il admissible de tourner les coins ronds, et à quel prix pour le bien-être social et environnemental? Ne faudrait-il pas que les VCs réévaluent leurs stratégies d’investissement et leurs impacts à long terme?

Source : Techcrunch

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