« Qui n’a jamais rêvé d’un séminaire d’entreprise sans les headaches? » C’est la question que semble résoudre la jeune pousse française Naboo, qui, entre deux cafés et un brainstorming sur des tapis de yoga, a réussi à lever la coquette somme de 7,5 millions d’euros pour transformer l’organisation des séminaires en une promenade de santé digitale. Chapeau, l’artiste.
Imaginons un instant ce monde radieux : fini l’angoisse de la page blanche de Booking.com, adieu la quadrature du cercle sur Airbnb, Naboo c’est un peu le Cupidon des lieux de séminaires, qui flèche les entreprises vers la maisonnette parfaite pour renforcer l’esprit d’équipe, le tout en quelques clics magiques.
Et Naboo ne s’arrête pas là, non non. En véritable maestro de la logistique, la plateforme vous propose non seulement un catalogue de lieux qui fait rêver, mais s’occupe également de vous trouver traiteurs, animations et transport. Autant dire que Naboo donne un sacré coup de vieux à la traditionnelle agence de séminaires.
Naboo, l’orchestrateur de vos événements professionnels, sans fausse note.
Place aux mini-séminaires, où les team leaders jouent désormais les chefs d’orchestre, avec un petit budget et une envie de cohésion d’équipe à toute épreuve. Naboo leur donne les clés du royaume avec une mise en relation directe avec des lieux triés sur le volet et une transparence du coût qui aurait de quoi rendre jaloux le plus aguerri des courtiers.
Des clientèles telles que Carrefour ou Orange sont déjà sous le charme, et certaines entreprises n’hésitent pas à s’attacher exclusivement à Naboo pour leurs périples professionnels. Gain de temps, économies, et en bonus, un suivi budgétaire sans migraine.
Même les volumes de transaction mensuels, qui frôlent le million et demi d’euros, chantent la douce mélodie du succès pour Naboo. Avec une startup qui dégote des partenariats de choix et envisage des innovations futées, comme l’intégration de l’I.A. pour affiner vos requêtes, on est proche de l’octave parfaite.
Un avenir prometteur, donc, pour Naboo, qui semble avoir trouvé la partition gagnante. Et à ceux qui penseraient qu’il ne s’agit là que d’une éphémère mélodie tech… Rappelons-nous que même les plus grands symphonies ont commencé par une simple partition.
Source : Techcrunch