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Credits image : Annie Spratt / Unsplash

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La startup Mogul a-t-elle découvert la clé de la gestion des royalties pour les artistes?

Les droits d’auteur et la gestion des redevances représentent-ils un vrai casse-tête pour les artistes dans le secteur musical? En explorant cet univers complexe, on tombe sur Mogul, une startup qui promet d’aider les artistes à suivre leurs revenus et découvrir des opportunités de gains manquées. Mais comment fonctionne exactement cette plateforme, et peut-elle réellement transformer le paysage des redevances musicales pour les artistes indépendants?

La collecte de 1,9 million de dollars en financement d’amorçage par Mogul soulève un certain nombre de questions. Portée par des investisseurs comme Wonder Ventures et United Talent Agency, la société fondée par deux anciens de SoundCloud, Jeff Ponchick et Joey Mason, a-t-elle la clé qui ouvrira la porte à une gestion plus transparente et équitable de l’argent généré par la musique des artistes?

Quand Ponchick affirme que les musiciens ont du mal à percevoir l’argent qui leur est dû, cela révèle-t-il des failles systémiques dans l’industrie de la musique? Avec 250 artistes en phase bêta privée et plus de 3,5 millions de dollars de revenus non identifiés traqués, Mogul prétend offrir une solution aux problèmes récurrents auxquels les créateurs de musique font face. Néanmoins, comment cette plateforme parvient-elle à éclaircir le brouillard financier qui entoure les droits d’auteur et les redevances?

La start-up Mogul entend simplifier le suivi des revenus et la découverte de revenus manqués pour les artistes dans l’industrie de la musique.

Est-il envisageable que les artistes puissent enfin avoir un aperçu complet de leurs sources de revenus, qu’il s’agisse de droits d’édition ou d’enregistrements sonores, grâce à Mogul? En les connectant à diverses sources de distribution musicale telles qu’Audiomack et DistroKid, la plateforme promet une meilleure traçabilité des royalties issues de multiples plateformes. Mais en quoi consiste exactement cette fameuse « desk audit » automatisée qui aiderait à identifier les revenus manquants?

Comment Mogul envisage-t-elle de générer des revenus? Explorant un modèle SaaS et un système de récupération de redevances sur une base commissionnelle, la société essaie-t-elle d’innover dans son approche de monétisation? La startup est-elle capable de s’adapter aux retours des artistes pour affiner son modèle économique?

La question des royalties s’est-elle complexifiée avec l’essor des plateformes de vidéos courtes et du débat sur la répartition équitable des revenus? Alors que des législateurs comme Rashida Tlaib aux États-Unis cherchent des solutions législatives pour augmenter la rémunération des musiciens et que l’Union Européenne explore de nouvelles règles pour une distribution plus juste des revenus du streaming, quel rôle Mogul jouera-t-il dans cet écosystème en mutation?

Face à la complexité et l’évolution constante du suivi et de la redistribution des revenus, Mogul pourrait-elle devenir l’alliée indispensable de l’artiste moderne dans sa quête de transparence et d’équité? Avec l’industrie de la musique qui se heurte à la multiplicité des plateformes, des informations de droits et des territoires différents, quel est l’impact potentiel de la solution proposée par Mogul sur la facilité de gestion financière pour les musiciens?

Source : Techcrunch

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