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Credits image : Cosmic Timetraveler / Unsplash

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Rebirth of a Card Master: Quand Cloud Devient Roi du Paquet de Cartes

« Jeu, set et match… Attention, ça va cartonner! » Comme beaucoup, j’ai eu le privilège de plonger mes mains frémissantes dans la pré-version de Final Fantasy 7 Rebirth, frétillant d’anticipation quelques semaines à peine avant la sortie officielle du jeu. Préversion qui, je dois admettre, m’a vu succomber aux charmes entêtants d’un petit jeu de cartes anodin nommé Queen’s Blood, à tel point que j’ai peut-être légèrement négligé le reste. Je m’en défends : c’est un signe indéniable que les créateurs de cette suite d’un remake ont concocté un univers encore plus immersif et étendu que son prédécesseur parfois un poil dirigiste. Après tout, j’ai déjà épié les nouveautés du système de combat lors d’une preview antérieure.

Ah, respirer enfin hors de Midgar, cela ouvre des horizons d’une verdure à couper le souffle ! Il suffit de faire un pas en dehors de la petite ville satellite de Kalm au chapitre 2 pour se retrouver nez-à-nez avec mère Nature. Mais avant de gambader dans les hautes herbes, mon aventure a commencé par un petit tour nostalgique dans Nibelheim au chapitre 1, incluant une pincée d’intrusions domestiques et de piétinements de convenances sociales auxquelles même Tifa n’échappe pas.

La dynamique Cloud-Sephiroth ajoute une théâtralité d’une finesse digne d’une telenovela, avec ce petit côté mélo qui n’est pas pour me déplaire. On retrouve un Cloud en pleine introspection mémorielle, et ma plume frétille à l’idée des détours scénaristiques que les développeurs pourraient nous réserver. Vont-ils respecter la tragédie canonique ou aurons-nous droit à des rebondissements capillotractés? Le suspense reste entier.

Le Jeu Queen’s Blood : ou comment (ré)apprendre à aimer les risques… de table.

Et parlons-en justement, du jeu de cartes Queen’s Blood ! Pour faire court, imaginez un mélange alambiqué de conquête façon Risk avec une pincée de magie « Final Fantasyesque ». Vous l’avez ? Non ? C’est normal, c’est plus facile à jouer qu’à décrire. Mais ce qui est sûr, c’est que j’aurais probablement dû délaisser ce passe-temps pour explorer davantage l’environnement luxuriant de Rebirth… ou pas.

Puis, échappant à l’attraction magnétique du Queen’s Blood, je me suis aventuré plus loin, à la découverte de trésors cachés, de hordes de monstres uniques, armes et chocobos. Et puis, bien sûr, un retour sur les terres du bien nommé Chad et ses missions virtuellement viriles. Et pendant que je faisais connaissance, de manière un peu brutale, avec le Titan, le monde autour de moi bourdonnait d’activités, de collectes et de voyages à dos d’oiseau géant.

Toutefois, ce monde ouvert n’est pas dépourvu de quelques menues activités qui semblent tout droit sorties d’un guide touristique pour aventuriers en mal de quêtes. J’espère que les développeurs sauront éviter le piège de la redondance voyageuse. Heureusement, des batailles captivantes et parfois corsées assurent une agréable distraction. Et surprise! Les liens affectifs tissés entre personnages s’affichent désormais dans les stratégies et statistiques, promettant des dialogues et quêtes secondaires au parfum JRPG très à la mode.

Alors que la sortie du jeu se profile pour le 29 février 2024 exclusivement sur PS5, une chose est sûre : Si vous voulez que vos readers soient dans le game, il faut savoir jouer vos cartes et ne pas hésiter à abattre un valet de cœur… ou un Cloud d’acier. Final Fantasy VII Rebirth, le jeu qui va véritablement chambouler votre deck-estin!

Source : Engadget

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