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Credits image : Christian Wiediger / Unsplash

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WhatsApp: l’art de l’entretien des liens à travers des chaînes ouvertes

« Vouloir discuter avec l’ami d’un ami, voilà qui ouvre un sac de noeuds… de réseaux! » En plein compte à rebours avant la date fatidique de l’Acte sur les Marchés Numériques (DMA), WhatsApp se fait acrobate et prévoit de laisser les utilisateurs jongler avec diverses applications de messagerie dans son propre chapiteau.

L’imminent tango des applications commence avec un pas audacieux: selon les confidences de Dick Brouwer à Wired, directeur d’ingénierie chez WhatsApp, l’entreprise mettrait le dernier coup de pinceau à sa fresque d’interconnectivité, invitant même les acrobates du clavier de plus de 2 milliards d’utilisateurs.

C’est la quadrature du cercle pour les ingénieurs de WhatsApp qui doivent concilier la simplicité d’interopérabilité avec la troisième partie, tout en préservant la vie privée et la sécurité signature de l’application. L’équilibre semble trouvé et ça, ça vaut bien une médaille d’or en gymnastique algorithmique.

« WhatsApp réussit le grand écart entre interopérabilité et sécurité. »

Et si vous l’ignoriez, l’Union Européenne, tel un chef d’orchestre, a déjà posé la partition sur le pupitre en 2022, décrétant que les services comme WhatsApp et Messenger doivent s’ouvrir à la concurrence dans une harmonieuse symphonie inter-applicative. Cela comprend la poésie des textos, la symphonie des voix, le ballet des vidéos, l’expressionnisme des images et la sculpture des fichiers.

Les petits génies de chez Meta ne chôment pas non plus et sculptent dans la matrice numérique de Messenger un petit cocon pour d’autres apps de papotage. Brouwer, tel un chef d’orchestre de la confidentialité, a orchestré l’harmonie sécuritaire de Messenger l’année dernière et annoncé que cette nouvelle expérience serait basée sur le volontariat, afin d’éviter le cacophonie du spam et les fausses notes des arnaques.

Avec une touche de mystère, Brouwer laisse planer le doute sur les accords à signer pour pouvoir faire partie de cette chorale technologique. C’est comme si Apple lui-même avait donné le la avec ses changements récents sur l’App Store — une mélodie aux notes encore floues.

Et pour les aficionados du libre, sachez que le fondateur de Matrix, une plateforme de messagerie open-source, a déjà esquissé quelques pas de deux avec WhatsApp pour une interopérabilité chiffrée de bout en bout. Mais pour l’heure, les autres virtuoses comme Telegram ou Google restent muets sur leurs intentions d’ajouter leur voix au chœur.

Et puis, il ne faut pas oublier que tout n’est pas si rose dans le village global des échanges numériques. Les applications multitâches et polyglottes comme Texts.com, racheté par les propriétaires de WordPress, ou encore Beeper, qui a tenté d’amener iMessage sur Android, montrent dejà l’appétit pour des solutions universelles. Les frontières entre les applications s’estompent, mais l’égalité des fonctionnalités reste un horizon lointain.

Source : Techcrunch

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