a glass jar filled with coins and a plant

Credits image : Towfiqu barbhuiya / Unsplash

SociétéTechnologie
0

Le financement d’amorçage en période d’incertitude : quel avenir pour les startups ?

Le climat actuel du financement d’amorçage est-il aussi précaire qu’on le dit? Observant l’écosystème des startups ces dernières années, l’on note une véritable montagne russe. L’incertitude du début de la pandémie a cédé la place à un optimisme débordant, l’argent affluant vers presque toutes les startups. Mais qu’en est-il maintenant, alors que les financements semblent se raréfier et que les défis se multiplient pour les startups en devenir?

Est-ce vraiment le mauvais moment pour lever un tour de table d’amorçage? Les entrepreneurs, particulièrement au début de leur parcours, sont-ils confrontés à un environnement de financement hostile? Talia Goldberg, partenaire chez Bessemer Venture Partners, confie à TechCrunch+ son enthousiasme face aux entrepreneurs rencontrés dans cet écosystème à l’étape de l’amorçage. Cependant, est-ce que les « vrais » entrepreneurs ne se révèlent-ils pas justement dans ces moments plus difficiles?

À quoi ressemble le paysage actuel pour les tours de financement d’amorçage? Pour y voir plus clair, TechCrunch+ a partagé les insights de Goldberg ainsi que ceux de deux autres investisseurs aguerris : Pae Wu, partenaire général chez SOSV, et Maren Bannon, partenaire chez January Ventures. Que recherchent-ils lorsqu’ils évaluent les pitchs des startups en phase d’amorçage? Quelle est la dynamique des tailles de tours et des évaluations actuellement? Quels conseils prodiguent-ils aux entreprises de leur portefeuille?

Face à un environnement changeant, les startups d’amorçage doivent s’adapter rapidement pour rester attractives aux yeux des investisseurs.

La définition même d’une startup en phase d’amorçage a mué, les tailles des tours et les évaluations ayant tendance à augmenter. Mais qu’en est-il de l’évolution des attentes des investisseurs, qui souhaitent désormais voir davantage de preuves concernant l’adéquation produit-marché et les revenus? Serait-ce la pandémie qui en est partiellement responsable, comme le suggère Bannon à TechCrunch+?

Une surabondance de capital durant l’ère COVID a-t-elle vraiment conduit à des valorisations pré-amorçage surélevées? Comment cette effervescence des fonds d’ange, des fonds opérateurs et des fonds en continu a-t-elle influencé le marché? Et maintenant que nombre de ces fonds se retirent, assiste-t-on à un effondrement des valorisations pré-amorçage? Ces paramètres pourraient-ils rendre les levées de fonds ultérieures plus épineuses pour les compagnies qui ont levé des fonds pré-amorçage ces dernières années?

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.