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Credits image : Maxim Hopman / Unsplash

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LeoLabs : Prévention des Collisions Stellaire-pointées

“La Terre est plate… comme l’écran d’un radar de suivi spatial!” Bienvenu.e à l’époque où nos signaux Wi-Fi voyagent avec plus d’aisance dans l’espace qu’à travers les murs de nos appartements. Ah, le progrès ! Vous pensiez que l’espace était ce vide intersidéral, sombre et infini, seulement peuplé d’étoiles lointaines et de quelques planètes paresseuses ? Détrompez-vous ! C’est désormais un véritable embouteillage orbital qu’il faut gérer. Oui, Elon n’est pas le seul à avoir envoyé sa voiture se balader autour de la Terre.

Ce grand spectacle cosmique est surveillé par des yeux aguerris, notamment ceux du Pentagone américain, qui, depuis le début de la conquête spatiale, surveille, identifie et traque le moindre boulon hors de contrôle. Mais figurez-vous que dans ce domaine aussi, l’entreprise privée a flairé le fromage et commercialement, c’est un véritable fromage… d’orbits !

À ce jeu, une startup, nommée LeoLabs, déploie son réseau tentaculaire de radars pour avoir à l’œil plus de 20 000 objets flottant nonchalamment au-dessus de nos têtes. Bon, ils appellent cela des « données critiques », mais entre nous, c’est juste pour ne pas admettre qu’ils sont en train de jouer à la plus grande partie de « Où est Charlie ? » de l’histoire humaine, mais dans l’espace. Repérer et éviter les collisions, c’est leur partie de Tetris quotidienne.

Une entreprise privée assure la surveillance spatiale et évite les collisions à l’ère de la surpopulation orbitale.

LeoLabs doit ce succès spatial à de l’intelligence artificielle (IA) – la vraie, pas celle qui vous suggère des pubs pour des chaussettes après une conversation innocente sur les pieds froids. Cette IA interstellaire est la cerise sur le sundae pour les militaires et les opérateurs de satellites, parsemant leurs opérations de données croustillantes pour éviter le chaos en orbite.

Grâce à une récente levée de fonds de 29 millions de dollars, notre constellation d’espions spatiaux veut élargir encore plus son épouvantail à débris. Il ne s’agit plus seulement de gros morceaux de ferraille errants, non, non ! LeoLabs vise désormais ces petites pièces plus sournoises, celles qui jouent à cache-cache dans les plis de l’atmosphère terrestre. « Et vous pensiez que les miettes dans le toaster étaient une plaie ! » s’exclame sûrement leur PDG lors des réunions d’équipe.

Ce capital stellaire attire des investisseurs comme des mouches sur un pot de miel intergalactique. Des noms tels que GP Bullhound, 1941, Dolby Family Ventures et même des entités déjà séduites par le potentiel explosif (au sens figuré, on l’espère) de la société rejoignent la danse orbitale. Financer un tel projet, ce n’est pas de l’argent jeté dans un trou noir, loin de là !

Après tout, avec la multiplication de ces petits danseurs célestes propulsés par des fusées pas toujours très bavardes – merci la Chine ! – autant dire que la Space Force américaine a tout intérêt à garder un œil ouvert. Et d’ailleurs, si jamais ils louchent, LeoLabs est là pour leur prêter ses lunettes radar ! Mais, souvenons-nous : dans l’espace, personne ne vous entendra rire de la dernière blague spatiale… surtout si elle tombe à plat !

Source : Techcrunch

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