« Si le management était une pizza, Rippling serait la pizzeria qui livre à l’international! » Bon, mettez-vous en mode kangourou car nous partons en Australie où Rippling, la plateforme de gestion d’entreprise tout-en-un, débarque avec son lot de dollars et d’ambitions. Parker Conrad, le co-fondateur à la casquette de capitaine d’industrie, nous livre ses plans d’invasion pour le continent océanien où les boîtes à outils locales semblent aussi rares qu’un bonnet de nuit pour un koala.
Vous souvenez-vous de Rippling, la start-up qui a levé 500 millions de dollars plus vite qu’un poisson rouge ne fait trois tours de bocal durant l’implosion de la Silicon Valley Bank ? Et bien, ce héros de la gestion des ressources humaines, de l’IT et des finances, va étaler sa technologie sur le pain austral avec une profondeur d’intégration que même le corail de la Grande Barrière envierait. Avec une entrée stratégique dans la région APAC, Rippling met les petits plats dans les grands, de l’Inde à Singapour en passant par Sydney, où son nouveau QG luit comme une pépite d’or dans le monde des kangourous digitaux.
« Rippling, c’est comme un bon barbie : ça rassemble tout le monde autour d’un seul et même feu de gestion! »
Imaginez-vous dans la peau d’un employeur australien : entre les Modern Awards et les superannuations, vous jonglez avec plus de normes et règlements que de balles de rugby lors d’un match des Wallabies. Et qui arrive à la rescousse ? Rippling, le crocodile Dundee de la conformité à la réglementation, disposé à défricher la jungle des changements législatifs avec un swag de fonctions adaptées aborigènes.
Mais attention, Rippling ne se propage pas seulement pour faire populaire au barbecue. Non, cette entreprise, qui bosse déjà pour des entreprises de 1000 employés, vise maintenant des gros poissons avec des équipes de 3000 bougres. Son but ? Resserrer ses liens avec le goût local tout en tricotant son pull global – Hugh Jackman n’aurait pas dit mieux.
Et la concurrence ? Disons que Rippling n’a pas peur des fantômes du bush. Elle compte bien apporter à ses clients de nouvelles aventures savoureuses grâce à une suite produit étendue qui va de la gestion des ressources humaines au IT, en passant par la finance. C’est une véritable fusion des saveurs managériales, un « Vegemite » de la tech, si vous préférez.
Vous l’aurez compris, Rippling n’est pas là pour faire tapisserie. Son expansion en APAC c’est un peu comme si le capitaine Cook avait trouvé une carte de trésor avec un « X » digital. Conrad et son équipe alignent les pages de code comme des dominos prêts à conquérir le continent rouge avec une simplicité qui ferait rougir un opal.
Alors, à tous ceux qui croyaient que les plateformes de gestion étaient aussi fades qu’une tartine sans beurre, Rippling répond avec un pavlova technologique qui réveille les papilles. Et on dira que l’histoire ne se répète pas, mais apparemment, quand Rippling se montre, les entreprises locales vont… Down Under!
Source : Techcrunch