« Qui n’a jamais cherché ses clés pendant des heures pour les retrouver dans sa main ? » Eh bien, Slack semble avoir trouvé la solution pour éviter que ses utilisateurs se perdent dans la quête d’informations enfouies dans les méandres de la plateforme. Avec l’annonce de nouvelles fonctionnalités garnies d’IA, Slack veut jouer à l’Indiana Jones dans ses propres archives.
Vous voyez, Slack, c’est ce super outil où tout le savoir informel des entreprises se cache dans des wagons de messages impénétrables. Noah Weiss, grand manitou des produits chez Slack, compare ça à une mine d’or de connaissances qu’on aurait du mal à extraire. Mais ces nouvelles capacités d’IA générale sont comme une dynamite qui nous permet de révéler tout un nouveau niveau d’intelligence et de sens. C’est presque poétique, non ?
Et la grande nouvelle, c’est qu’en mai dernier, notre cher Slack nous avait soufflé, lors du Salesforce World Tour à New York, qu’ils allaient injecter de l’IA générale dans leur bébé. Mais ce n’était pas qu’une déclaration en l’air, oh que non ! Slack a concocté son propre petit cocktail savant, le SlackGPT, spécialement distillé pour s’imbiber du contenu Slackien sans gueule de bois.
« L’outil de recherche basé sur l’IA et la capacité de résumé sont conçus pour pomper l’intelligence de cette masse de données de manière efficace. »
Alors, quoi de neuf aujourd’hui ? On peut désormais demander à ce cher Slack de nous pondre un résumé pétillant des discussions d’un canal. C’est comme si vous lâchiez un « Récapitulatif, s’il te plaît ! » et pouf! vous obtenez un condensé de tout ce blabla sans avoir à vous taper le marathon de lecture. Weiss souligne l’importance de la transparence et de la confiance, car vous pouvez voir comment la machine a tricoté son résumé. Pas de magie noire, que du travail d’horloger.
Mais quoi ? Il y a encore plus ? Slack nous fait l’honneur de comprendre nos questions posées tout naturellement et nous balance juste ce qu’il faut de réponses, toujours avec des références bien précises pour que l’on puisse jauger la fiabilité du tuyau. Ce n’est pas de l’écho, c’est une vraie conversation!
Cerise sur le gâteau, un petit système de contrôle qualité de la réponse est proposé. Histoire d’affiner les performances de notre génie de la lampe et d’offrir une expérience utilisateur aux petits oignons. Et si vous vous attendiez à une révélation sur le moteur sous le capot, raté! Weiss se garde bien de dévoiler la recette, mentionnant simplement un assemblage de modèles de langage de grande envergure. C’est du cousu main pour Slack, une vraie petite haute couture algorithmique.
Certes, pour pouvoir profiter de ce service de recherche AI et de résumé, il faudra mettre la main à la poche. C’est un ajout pour les plans d’entreprise, ce qui signifie qu’il y aura un petit extra à payer en sus de votre licence habituelle. Slack n’a pas écaillé son coffre pour dire combien, mais c’est déjà dispo aux États-Unis et au Royaume-Uni, uniquement en anglais pour l’instant. Mais ne désespérez pas, multilingues de tout poil, d’autres langages sont sur le point de débouler!
Source : Techcrunch