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Credits image : dole777 / Unsplash

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Quand les géants du web jouent aux petits avocats devant la Cour suprême

« Internet : un monde où chaque clic peut être une aventure, ou un casse-tête juridique ! »

Alors que nos chers réseaux sociaux devenaient le théâtre d’une bataille plus épique que celles vues dans Game of Thrones, la Cour suprême s’est retrouvée à jongler avec deux lois étatiques US qui cherchent à remettre en question la manière dont ces plateformes modèrent leur contenu. Imaginez un peu : Facebook et Twitter en plein dilemme shakespearien, « modérer ou ne pas modérer, telle est la question ».

En octobre, chers amis du digital, la Cour a décidé de prêter l’oreille (et probablement l’œil) aux cas de la Floride et du Texas. Ces États, sous la férule de gouverneurs républicains assez frondeurs, ont déclaré que les entreprises de médias sociaux devaient cesser de supprimer certains types de contenu, notamment ceux qui seraient trop bavards politiquement parlant ou ceux offensant le bon goût du « libre discours ». Un peu comme dire à un enfant de ne pas toucher à un pot de confiture placé juste sous son nez.

« Dans le maelstrom juridique des médias sociaux, la Cour suprême tente de trouver le nord. »

Les lois en question, portant les doux noms de Bill 7072 en Floride et House Bill 20 au Texas, semblent être nées d’un marasme de rancœurs politiques, cherchant à punir ces géantes plateformes pour leurs supposés biais anti-conservateurs. Une sorte de querelle de cour de récréation, mais avec des enjeux un peu plus sérieux et aucun surveillant pour séparer les belligérants.

Ah, et quelle partie de plaisir cela a dû être pour les juges ! Entre arguments oraux et scepticisme à la pelle, ces gardiens de la loi ont dû naviguer à travers un océan de préoccupations, allant des effets potentiellement vastes et imprévus de ces lois jusqu’à la remise en question des fondements mêmes de la liberté d’expression. C’est un peu comme essayer de tricoter avec des aiguilles électriques, en somme.

Et pendant que certains juges semblaient trouver un certain charme aux arguments des États, d’autres pointaient du doigt Section 230, ce bon vieux morceau de législation protégeant les décisions de modération des entreprises internet, comme étant potentiellement un frein à cette frénésie régulatrice.

Par conséquent, tout reste possible – de la décision décisive dans les prochains mois jusqu’à un simple « Nous verrons plus tard », engendrant années de procès et frictions juridiques. C’est comme être à deux doigts de résoudre un Rubik’s Cube et de réaliser qu’une des cases a été remplacée par un sticker trompeur.

Au final, la Cour suprême aura tôt ou tard à embrasser pleinement l’ère d’internet, une tâche peut-être aussi compliquée que d’expliquer à votre grand-mère comment utiliser Snapchat. Mais une chose est sûre, le monde digital attend son heure devant la plus haute juridiction du pays, armé jusqu’aux pixels.

Source : Techcrunch

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