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Credits image : Sarina Gito / Unsplash

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Quand ChatGPT Mime Sans Limite, Justice Devient Mime

« En matière de technologie, il semble que l’on ne soit jamais à court de surprises… ou de litiges ! » Ah, l’univers impitoyable de la tech ! Quand ce n’est pas une course à qui lancera le dernier gadget révolutionnaire, c’est une bataille juridique à qui aura le dernier mot en matière de droits d’auteur. Dernièrement, Microsoft et OpenAI se retrouvent dans le viseur de plusieurs médias. Pourquoi ? Eh bien, pour une histoire de contenu reproduit « mot pour mot » ou presque, sans le petit mot magique : l’attribution.

Imaginez-vous créer de superbes articles, des œuvres d’art des mots, pour ensuite découvrir que ChatGPT les récite comme un perroquet sans même mentionner votre nom. Assez frustrant, non ? C’est exactement ce qu’ont dû se dire The Intercept, Raw Story, et AlterNet en déposant plainte contre les géants technologiques. Leur argument ? Si ChatGPT a appris à papoter grâce à leur contenu, la moindre des choses serait de communiquer cette information quand il rend l’âme… Euh, quand il rend la réponse !

Les plaignants, unis sous la même bannière juridique, pensent que Microsoft et OpenAI avaient parfaitement conscience que leur petit protégé serait moins populaire si le public savait qu’il recopiait bêtement sans citer ses sources. C’est un peu comme passer un examen en ayant la feuille de l’élève à côté, sans jamais dire d’où viennent les réponses étonnamment justes.

« Quand l’intelligence artificielle joue les perroquets, les plumes juridiques se hérissent. »

Un petit détail intéressant : OpenAI dispose d’un système permettant aux propriétaires de sites web de dire « non merci » au traitement de leurs contenus. Alors, ignorance ou négligence ? La question reste en suspens. Pendant ce temps, Microsoft et OpenAI enfilent leurs armures, prêts à défendre chaque utilisateur contre des accusations de violation de droits d’auteur qui pourraient émerger de l’utilisation de leurs gadgets.

Oh, et pour rajouter une couche, The New York Times a également sorti les griffes fin de l’année dernière, accusant nos deux compères de vol de contenu en bonne et due forme. La défense ? OpenAI s’est fendu d’une demande de rejet en invoquant un bug de ChatGPT, transformé malgré lui en perroquet savant. Ce à quoi on pourrait ajouter les plaintes de multiples auteurs et même de l’humoriste Sarah Silverman qui sont loin de trouver tout cela drôle.

En somme, alors que les plaintes commencent à s’accumuler, on se demande si ChatGPT aura assez appris de tout ceci pour, à l’avenir, citer ses sources avec autant d’aisance qu’il génère des réponses. Ou peut-être devrions-nous simplement lui apprendre à dire « c’est pas moi, c’est lui ! » en pointant du doigt Microsoft et OpenAI. Après tout, en matière de copie, il semblerait que la technologie soit prise la main dans le sac… d’école !

Source : Engadget

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