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L’eldorado du télétravail ou comment naviguer sur le streaming des talents

« Dans un monde où le télétravail devient la norme, même les pyjamas doivent faire face à de nouvelles règles fiscales. » Bienvenue dans l’âge d’or des startups qui gravitent autour du HR-tech, là où les frontières ne sont plus un obstacle à l’embauche.

La startup RemotePass, basée aux Émirats arabes unis, a réussi à lever 5,5 millions de dollars en série A, menée par le VC turc 212. La partie était également animée par d’autres investisseurs tels que Endeavor Catalyst et Khwarizmi Ventures, montrant que le jeu de l’embauche à distance a de nombreux fans.

Fondée fin 2020 par Kamal Reggad et Karim Nadi, RemotePass s’est donné pour mission de simplifier la vie des entreprises qui veulent élargir leur équipe au-delà des frontières sans se perdre dans les méandres juridiques de chaque pays. Spotify et Logitech figurent parmi les utilisateurs convaincus, preuve que la playlist de leurs besoins a trouvé un bon écho.

« Changer de cap pour naviguer sur les vagues de la pandémie. »

L’aventure de RemotePass ne commence toutefois pas avec cette idée. Initialement, elle naviguait sous la bannière de SafarPass, proposant une solution pour gérer les voyages d’affaires. Mais quand le monde entier a dû poser ses valises à cause de la pandémie, l’idée de se concentrer sur le télétravail est devenue plus qu’évidente.

En témoigne la transition réussie : malgré les turbulences, RemotePass affiche une croissance de 35% mois après mois, attirant plus de 600 entreprises et 8000 nomades numériques grâce à sa capacité à faire pleuvoir des options de paiement diversifiées comme s’il en pleuvait.

Face aux géants du secteur comme Deel, RemotePass pousse ses pions en se présentant comme le champion des marchés émergents, en particulier au Moyen-Orient et en Afrique, grâce à une application qui comprend tout, des cartes de débit en dollars pour éviter les montagnes russes des taux de change, jusqu’à l’assurance santé mensuelle.

Kamal Reggad, en véritable chef de file, mise sur le bien-être des travailleurs distants, arguant que dans ce jardin de l’emploi à distance, les meilleures fleurs sont celles qui restent.

Passant d’un modèle de tarification par abonnement, chaque contractuel coûte 40$/mois, alors que les frais explosent pour les employés à temps plein, spécifiquement pour ceux qui nécessitent des services d’immigration et de relocation, avec des tarifs variant de 350$ à 699$/mois. Le futur s’annonce radiophonique; une valse de nouvelles opportunités de revenus attend RemotePass à l’horizon.

Grâce à ce financement, RemotePass a le vent en poupe, projetant de conquérir l’Arabie Saoudite où le soleil se lève sur son succès et de consolider son offre pour répondre encore plus précisément aux besoins locaux. La confiance dans l’équipe visionnaire et dans le modèle d’affaires de RemotePass par des investisseurs marquants confirme que l’entreprise a bel et bien trouvé sa boussole dans l’immense mer de la gestion du travail à distance.

Source : Techcrunch

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