« L’avenir est déjà là, il est juste mal distribué. » – William Gibson. Mais avec des startups comme Nanonets, l’avenir de l’automatisation des processus administratifs semble être en train de se répartir un peu plus équitablement, un million de dollars à la fois.
Imaginez un monde où traiter une facture ne vous distrairait plus de votre pause café vitale. Nanonets, avec son AI futuriste, promet de compresser l’éternité (ou plutôt les 15 minutes ennuyeuses) de traitement manuel de factures en une minute ultra-rapide de magie automatisée. Leur secret ? Une plateforme AI sans code qui fait semblant d’être votre meilleur employé, sauf qu’elle ne prend jamais de congés.
Plongeons dans les détails plus geeky : Nanonets, ce n’est pas seulement un algorithme. C’est un melting-pot de technologies de pointe, allant des réseaux neuronaux convolutifs aux transformateurs, en passant par les architectures multimodales, tout cela pour vous épargner la monotonie de la saisie manuelle de données. Et c’est sans parler de leur sirène d’accès direct aux ERP du type QuickBooks et NetSuite, chantant les louanges de l’automatisation.
En un clin d’œil, Nanonets transforme la paperasserie en châteaux de données numériques.
Mais que feraient-ils de tout cet argent fraîchement acquis grâce à Accel et ses copains investisseurs ? Étonnamment, ils ne comptent pas l’utiliser pour acheter une île déserte. Au lieu de cela, ils souhaitent rendre leur système plus précis que jamais, tout en élargissant leur empire de geeks basé principalement en Inde.
Alors que le marché de l’automatisation des flux de travail basée sur l’IA est aussi encombré qu’une rame de métro à l’heure de pointe, Nanonets fait valoir ses prouesses technologiques, affirmant que leurs solutions tiennent le haut du pavé avec un taux de traitement direct frôlant les 90 %. Pas mal pour une bande d’ingénieurs en quête d’efficacité.
Pendant que vous ruminez encore sur l’existence de dragons dans les data centers (qui d’autre cracherait du feu pour faire tourner tous ces serveurs ?), Nanonets sert déjà plus de 10 000 clients à travers le monde, dont 40 % aux États-Unis. Leur ambition ? Doubler, voire tripler, leur revenu, tout en restant assez humbles pour ne pas trop étaler leurs chiffres.
Comme dit le vieil adage dans le monde du financement des startups, « l’argent attire l’argent ». Et avec l’intérêt croissant pour les startups AI, malgré un marché global au ralenti, il semble que Nanonets soit en train d’écrire son propre conte de fées financé par capital-risque.
Source : Techcrunch