« Dans l’espace, personne ne vous entend écrire des e-mails. » Oui, d’accord, ce n’est peut-être pas le slogan le plus emblématique de l’histoire du cinéma, mais c’est pourtant ainsi qu’on pourrait résumer cette semaine trépidante dans l’univers spatial – avec une touche de TechCrunch, évidemment.
Envie de lancer un signal cosmique (ou plus terre-à-terre, un e-mail) à Aria de chez TechCrunch? Que ce soit pour partager un scoop ou pour transmettre vos rêves spatiaux les plus fous, tout est possible. Et si jamais vous avez peur que votre message se perde dans le vide interstellaire, pas de panique, des solutions plus sécurisées existent pour nous contacter. Ah, les joies de la communication moderne!
Astra, cette étoile filante de la sphère des SPACs spatiaux, vient de connaître un atterrissage plus brutal que prévu. En 2021, c’était le challenger à battre avec une valorisation à couper le souffle. Fast forward à aujourd’hui : la compagnie a perdu plus de 99% de sa valeur. L’ironie du sort, c’est que c’est en redevenant une entreprise privée qu’elle tente un dernier tour de piste.
De l’hyperespace à la réalité terrestre, les valorisations s’écrasent parfois plus vite qu’on ne le pense.
Tandis qu’Astra cherche à garder les pieds sur Terre, SpaceX, elle, vise encore les étoiles. Le 14 mars, un test crucial de la fusée Starship est planifié. Mais, comme toujours, tout dépend de l’accord du grand manitou de l’aéronautique, la FAA. Si tout se passe comme prévu, ce test pourrait marquer un grand pas pour SpaceX (et un petit pas pour ceux qui suivent depuis leur canapé).
Dans un tout autre recoin de la galaxie, AIN Ventures nous procure un rapport captivant sur les startups à double usage. Selon eux, malgré la disparition de l’argent facile, l’investissement dans ces entreprises spatiales (et terrestres) pourrait s’avérer plus juteux que prévu en 2024. Qui sait, peut-être qu’investir dans l’espace deviendra le nouveau Bitcoin ?
Et parce qu’aucune semaine spatiale ne serait complète sans un petit retour dans le passé, évoquons notre vieille amie Uranus. Découverte en 1781 par un astronome qui croyait initialement tomber sur une comète, elle nous rappelle que parfois, les plus grandes découvertes se cachent là où on les attend le moins.
Source : Techcrunch