« Je n’ai pas échoué. J’ai juste trouvé 10 000 façons qui ne fonctionnent pas. » – Thomas Edison adapté aux startups. Dans l’univers impitoyable des startups, une jeune équipe ambitieuse nommée Polar Signals joue le rôle d’Edison pour les entreprises voulant réduire leur facture de cloud. Armée d’une baguette magique de 6,8 millions de dollars soutenue par la crème de la crème des investisseurs, ils sont en quête d’une formule pour coder plus efficacement.
L’opération charme a débuté en 2021 avec une belle entrée en scène à 4 millions, provenant des puits de savoirs tels GV et Lightspeed, somme qui a bien grassement grossi pour atteindre un montant jovial de 10,8 millions de dollars. La pépite technologique brave l’orage grâce à une idée simple : moins de ressources consommées signifie moins de dépenses, surtout quand on parle CPU ou mémoire sur le cloud.
Et voici que le « profilage continu » fait son entrée grandiose, couronné par la bénédiction de Google dans une recherche de 2010. Il s’agit de scruter avec attention la consommation des ressources de chaque ligne de code, démasquant les goulots d’étranglement responsables d’une soif excessive d’énergie.
Les petites économies font les grandes fortunes, dit-on.
Avec Parca, Polar Signals jette son dévolu sur le monde des centres de données, aspirant à les rendre dix fois plus efficaces. À bord de son vaisseau commercial, Parca, le projet open source pour le suivi méticuleux de la consommation CPU et mémoire, s’aligne avec une offre hébergée récemment déployée baptisée Polar Signals Cloud. Un monde sans tracas de gestion et d’installation, mais riche en fonctionnalités comme le saint Graal du SSO.
Surprise du chef, l’intelligence artificielle s’invite à la fête pour suggérer des améliorations de code. Un clic sur « optimiser avec l’IA » et hop, une ribambelle d’amendements pointe le bout de son nez, une innovation accessible dès maintenant en avant-première.
Mais au lieu que la facture du cloud soit le souci majeur des clients, il s’avère que Polar Signals brille par sa capacité à déceler les mystères de pics de latence ou d’usage CPU, jusqu’à identifier la ligne de code coupable. L’outil parfait pour déjouer et comprendre les attaques DDoS, par exemple.
Depuis son lancement, cette étoile montante a su séduire plus que quelques clients payants, aidée par un financement dodu pour étendre encore son influence. Et avec une équipe de choc à l’expérience diverse – AWS, Meta, Red Hat, pour ne citer qu’eux – dispersée aux quatre coins du globe, c’est parti pour une aventure globale pour révolutionner l’efficacité des datacenters.
Pour finir, un peu comme dans un bon plat, le secret est dans la sauce. Chez Polar Signals, semble-t-il, ils ont trouvé la recette pour alléger non seulement les codes, mais aussi les factures cloud. Qui sait, bientôt, ils nous proposeront peut-être de coder avec légèreté, « au gré du cloud ».
Source : Techcrunch
