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Credits image : Arthur Mazi / Unsplash

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Zone peut-elle redéfinir l’avenir des paiements en Afrique ?

Est-ce que les institutions financières africaines peuvent réellement transformer le paysage des paiements en adoptant des technologies locales plus que les étrangères ? Appzone, désormais connu sous le nom de Zone, semble montrer la voie avec une proposition audacieuse. Depuis plus de dix ans, cette entreprise basée au Nigeria propose aux banques et aux fintechs africaines des solutions logicielles qui promettent une plus grande flexibilité et des tarifs plus compétitifs. Mais pourquoi ce virage vers la technologie blockchain pourrait-il représenter une véritable révolution dans le secteur ?

En 2022, en décidant d’explorer les potentialités de la technologie blockchain pour repenser les infrastructures de paiement et de banque, Zone a franchi un nouveau cap. Intégrer cette technologie au sein des systèmes bancaires traditionnels tout en se positionnant comme une infrastructure de paiement alimentée par la blockchain sous licence, cela ne pourrait-il pas être le chaînon manquant pour accéder à un avenir sans numéraire en Afrique ?

Peut-être que le plus grand défi pour l’Afrique aujourd’hui n’est pas l’absence de nouvelles technologies, mais la manière dont celles-ci peuvent être intégrées et rendues interopérables. Avec plus de 450 banques microfinances et 18 banques commerciales utilisant déjà ses services à travers le continent, la transition de Zone vers une infrastructure de paiement basée sur la blockchain pourrait-elle simplifier ce processus et encourager un écosystème de paiement unifié ?

Zone ambitionne de redéfinir le futur des paiements en Afrique, avec la blockchain en vedette.

L’idée derrière Zone est simple mais puissante : connecter banques et fintechs grâce à la technologie blockchain pour faciliter un flux de transactions sans intermédiaires. Mais cette ambition de créer une infrastructure de paiement interopérable et à grande échelle peut-elle vraiment matérialiser le passage à une société sans espèces sur le continent ? Comment cette approche se traduit-elle concrètement pour les acteurs financiers africains ?

Zone ne vise pas uniquement à faciliter les transactions. Le projet se distingue également par son approche de la résolution immédiate des problèmes de réconciliation et de règlement, deux aspects cruciaux souvent synonymes de complications et de délais. En permettant une réconciliation automatique et un règlement instantané grâce à la technologie blockchain, Zone pourrait-elle marquer un tournant pour les marchands et les consommateurs africains ?

Bien que l’utilisation de consortiums bancaires pour la propriété de l’infrastructure soit la norme dans le paysage des paiements et du réseau financier en Afrique, Zone se détache en raison de son leadership expérimenté, d’une clientèle active et d’un agrément bancaire central. Mais cet enthousiasme pour Zone est-il justifié ? En engageant plus de 6 000 DAB pour plus de 10 millions de porteurs de cartes et en traitant plus de 1 million USD en trois mois, Zone ne prouve-t-elle pas son efficacité et son potentiel de croissance ?

En fin de compte, avec l’appui de ses investisseurs et la promesse de nouvelles fonctionnalités, Zone se positionne fermement pour étendre sa couverture réseau et conquérir de nouveaux canaux de paiement. Mais la question se pose : cette initiative peut-elle vraiment révolutionner la façon dont les paiements sont traités sur le continent et au-delà, instaurant une nouvelle ère de rapidité, de fiabilité et d’efficacité dans le domaine financier africain ?

Source : Techcrunch

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