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Fisker, une marche électrique plus silencieuse sur Wall Street

“Dans le monde de la finance comme dans la vie, il faut savoir rebondir… mais jusqu’à quel point ?” Qui aurait pu prédire que Fisker, cette étoile montante de l’automobile électrique, se retrouverait plutôt à faire du pédalo dans la mare des actions à bas prix ? Pas moi et sûrement pas la même NYSE qui vient de lui passer un savon.

Alors, pourquoi donc New York a-t-elle sorti le carton rouge ? Eh bien, la cote d’amour (et de prix) de Fisker a fait une chute plus vertigineuse qu’un adolescent sur ses rollers, flirtant avec le sol à moins d’un dollar. À ce niveau-là, même mes blagues ont plus de valeur sur le marché !

La NYSE dit “Ciao Bella” à Fisker, mais l’aventure continue ailleurs…

Mais que va-t-il advenir de notre pauvre Fisker ? À en croire ses dernières confessions sous forme de fichier à la SEC, le futur s’écrit en mode “marché de gré à gré”, loin des feux de la rampe de la NYSE. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, voilà que des clauses de remboursement de prêt se mettent à clignoter plus vite que les yeux d’un chat face à un laser, rendant la situation plus serrée qu’un jean slim sur un sumo.

L’affaire se corse davantage lorsque l’on apprend que Fisker a vu s’envoler une potentielle grande histoire d’amour automobilistique avec, tenez-vous bien, Nissan. Oui, vous avez bien lu, Nissan ! Ce rendez-vous manqué n’a pas seulement laissé Fisker avec un cœur brisé, mais a aussi mis en péril une levée de fonds d’urgence. Allez, qui n’a jamais rêvé d’un peu plus de drama dans le monde des voitures électriques ?

À la dérive, Fisker tente de repêcher ce qui peut encore l’être dans ce naufrage, y compris une demande de clémence adressée à cet investisseur anonyme qui, espérons-le, a le cœur moins dur que son portefeuille. Entre temps, Fisker cumule les problèmes comme on collectionne les timbres : plaintes de clients, poursuites judiciaires, enquêtes fédérales. Et dire que vendre son SUV Ocean semblait être le moindre de ses soucis.

La cerise sur le gâteau? En février, la société a dû dire au revoir à 15% de son équipage, soit environ 200 personnes. Avec à peine 121 millions en banque et la production en pause, Fisker semble naviguer à vue dans l’attente d’un miracle financier.

Fisker aura au moins réussi une chose : nous rappeler que dans le ballet électrique des start-ups, certains pas de deux se transforment parfois en solos improvisés. Pour info, cet article a été mis à jour avec les dernières pirouettes de Fisker.

Source : Techcrunch

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