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Credits image : Simone Viani / Unsplash

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Quantum ou Quand on tique : Microsoft et Quantinuum brisent le code

« Un ordinateur quantique entre dans un bar et commande une bière. Le barman dit : ‘Vous voulez des chips avec ça?’ et l’ordinateur répond : ‘Je ne peux pas décider avant de m’effondrer’. » Ah, l’humour quantique, jamais simple mais toujours pertinent, surtout quand Microsoft et Quantinuum annoncent une percée majeure dans la correction d’erreurs quantiques. À l’aide du matériel ionique de Quantinuum et du nouveau système de virtualisation de qubits de Microsoft, ils ont pu mener plus de 14 000 expériences sans aucune erreur. En gros, ils ont fait du baby-sitting de qubits sans perdre un seul bébé qubit en chemin, et croyez-moi, ces petits peuvent être assez imprévisibles.

On dit que les ordinateurs quantiques actuels vivent dans une ère bruyante, pas parce qu’ils écoutent du heavy metal trop fort, mais parce que le moindre changement dans leur environnement les amène à se comporter de manière totalement aléatoire. Imaginez essayer de résoudre un Rubik’s Cube tout en étant dans un mixeur, c’est un peu le défi auquel ils sont confrontés. Mais grâce à cette nouvelle technique, le bruit est beaucoup moins un problème, poussant l’industrie hors de l’ère du « Noisy Intermediate Scale Quantum » (NISQ).

Ce n’est pas le nombre de qubits qui compte, c’est ce que vous en faites. Si vous n’avez pas le temps de lancer un algorithme de base avant que tout ne devienne trop bruyant, autant ne rien faire du tout.

Une percée en correction d’erreurs quantum pourrait signifier que nous sommes sur le point de casser le code, littéralement et figurativement.

En combinant plusieurs techniques différentes, notre duo dynamique a réussi à effectuer des milliers d’expériences sans commettre d’erreurs. Un peu comme réussir à faire un perfect dans un jeu vidéo en mode difficile, cela nécessite beaucoup de préparation et une sélection minutieuse des systèmes. Mais le jeu en vaut la chandelle, car cela représente une amélioration massive par rapport à où nous en étions avant.

Comme à la recherche d’un oasis dans un désert, cette avancée représente un pas dans la bonne direction pour la computation quantique. Certes, il reste encore de nombreux défis à surmonter (et ces résultats doivent être répliqués, bien sûr), mais en théorie, un ordinateur doté de 100 de ces qubits logiques pourrait déjà être utile pour résoudre certains problèmes, tandis qu’une machine avec 1 000 qubits pourrait, selon Microsoft, « débloquer un avantage commercial ». Imaginez les possibilités : de la conception de nouveaux médicaments à la résolution de problèmes climatiques, l’impact pourrait être monumental.

Utilisant le processeur ionique piégé H2 de Quantinuum, l’équipe a réussi à combiner 30 qubits physiques en quatre qubits logiques hautement fiables. C’est un peu comme si vous faisiez une équipe de super-héros avec les qubits les plus robustes pour sauver le monde des erreurs quantiques.

Et voilà, avec cette capacité à corriger les erreurs sans anéantir le qubit logique au passage, on peut dire que c’est un grand pas en avant. C’est maintenant au reste de la communauté quantique de reproduire ces résultats et d’implémenter des systèmes de correction d’erreurs similaires. Cela ne semble être qu’une question de temps.

En attendant, cette collaboration entre Microsoft et Quantinuum continue de repousser les limites de ce que nous pensions possible, débloquant le potentiel incroyable des applications quantiques pour l’avenir. Comme quoi, dans le monde de la technologie quantique, il semble que nous ayons enfin trouvé la bonne « bière » pour accompagner nos chips.

Source : Techcrunch

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