« L’intelligence artificielle, comme le vin, révèle toute sa saveur quand elle est bien partagée. » – un amateur de technologie et de bon vin.
Il était une fois dans un monde numérisé, une série d’interviews lancée par TechCrunch pour jeter un projecteur bien mérité sur les actrices méconnues de la révolution IA. Imaginez la scène : des femmes extraordinaires dans le domaine de l’IA sortant de l’ombre, tout ça présenté dans une saga à lire au coin du feu… ou plutôt, devant son écran! Pour en savoir plus, suivez le fil ici Women in AI.
Emilia Gómez, une cheffe d’orchestre pas comme les autres, dirige les recherches à la Commission Européenne avec un doigté aussi précis que ses analyses en musico-informatique. S’aventurant dans les méandres de la perception humaine de la musique et son interprétation par l’IA, Gómez navigue entre algorithmes et symphonies, explorant l’effet de l’IA sur nos comportements, nos décisions, et même sur le développement cognitif et socio-émotionnel de nos chérubins.
« Naviguer dans le monde de la tech, c’est un peu comme diriger un orchestre où chaque instrument joue sa propre mélodie. »
Côté coulisses, elle révèle ses prouesses dans l’arène académique et technique, notamment avec ses contributions à l’architecture spécifique à la musique. Ah, et n’oublions pas son rôle de première femme présidente de l’International Society for Music Information Retrieval – une vraie rock star! Chez la Commission, elle joue une partition majeure dans la composition des politiques de l’IA, ajoutant sa touche personnelle au grand concert des régulations européennes.
Le défi de jongler dans un monde où les hommes mènent la danse ? Gómez danse au rythme de sa propre musique, s’amusant dans cette symphonie parfois dissonante, tout en s’alliant aux femmes et alliés du milieu pour amplifier la diversité dans la mélodie de l’IA.
Aux futures virtuoses de l’IA, Gómez lance : « Vous êtes la mélodie manquante dans notre symphonie. L’IA a soif de votre créativité et votre perspective unique ». La diversité, selon elle, est la clé pour une innovation harmonieuse. Et pour ceux désireux d’y contribuer, elle conseille d’apprendre à diriger, et non pas seulement à suivre la cadence.
Au final, développer l’IA de manière responsable, c’est un peu comme composer une symphonie où chaque note compte. Gómez et son équipe jouent une partition délicate, visant une harmonie parfaite entre innovation technologique et bien-être sociétal. Une mélodie qui, elle l’espère, résonnera au-delà des salles de concert de l’Union Européenne.
Alors, la prochaine fois que vous entendrez parler d’intelligence artificielle, souvenez-vous que derrière chaque algorithme, il y a un chef d’orchestre, parfois inattendu, qui veille à ce que la musique joue juste pour tous.
En conclusion, comme dirait un amateur de technologie un peu poète sur les bords : « Dans la symphonie de l’IA, chaque femme est une note essentielle pour harmoniser l’avenir. »
Source : Techcrunch
