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Credits image : Johannes Plenio / Unsplash

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L’IA s’invite « à la puce » dans notre quotidien

« On ne peut pas prédire l’avenir, mais on peut toujours choisir son camp… et y planter des puces ! » – Anonyme, probablement un visionnaire de la technologie embarquée. Il était une fois, dans la lointaine contrée de la Silicon Valley, une startup du nom de SiMa.ai, qui, telle une fée du logis de la technologie, décida de jeter un sort de 70 millions de dollars pour donner vie à sa deuxième génération de puce système-sur-puce (SoC) pour l’IA, avec pour promesse de changer la donne dans le monde de l’IA générative multimodale.

Cette initiative survient à un moment où le marché mondial des puces pour IA, selon les oracles de Gartner, devrait voir son trésor doubler d’ici 2027 pour atteindre 119,4 milliards de dollars. SiMa.ai, armée de ses SoC conçus pour l’IA déployée aux frontières des données (un concept aussi connu sous le nom « edge AI »), vise à conquérir le cœur des secteurs aussi variés que la manufacture, la vente au détail, l’aérospatial, la défense, et même la santé et l’agriculture. Pour ceux du fond qui ne suivent pas, l’« edge AI » c’est l’art de traiter les données là où elles sont collectées plutôt que de les envoyer faire un tour sur les nuages.

Avec déjà plus de 50 compagnies séduites par son premier SoC, SiMa.ai ne s’est pas arrêtée là. Non, non, elle a annoncé l’arrivée d’un tout nouveau SoC spécialisé dans l’IA générative, qui ferait pâlir d’envie même les plus grands visionnaires du domaine. Une promesse alléchante pour les amateurs d’évolutions technologiques.

« Pour résumer, SiMa.ai prévoit d’embarquer le futur de l’IA directement dans nos objets quotidiens. »

Mais qu’est-ce que cela signifie, demandez-vous avec des étoiles dans les yeux ? Eh bien, préparez-vous à voir des appareils capables de comprendre non seulement ce que vous dites, mais aussi ce que vous montrez, écrivez, ou même chanter sous la douche. En 2025, SiMa.ai promet de débarquer avec ce bijou de technologie, offrant une plateforme unique pour toutes les IA, un peu comme le couteau suisse des geeks.

Et pour ceux qui se demandent si SiMa.ai est toute seule dans cette aventure, détrompez-vous. La startup danse le tango avec des géants de la technologie tels que TSMC pour la fabrication de ses puces et Arm Holdings pour le soutien technologique, assurant ainsi une entrée fracassante sur le marché, prête à rivaliser avec les ténors du secteur, dont Nvidia. Mais ne vous méprenez pas, SiMa.ai ne cherche pas à être une simple alternative ; elle vise la performance et l’efficacité énergétique supérieures, plus un petit je-ne-sais-quoi dans son approche du GenAI.

Enfin, avec une caisse de résonance fraîchement remplie de 270 millions de dollars, SiMa.ai compte bien agrandir sa famille de 160 employés, tissant sa toile depuis San José jusqu’à Bengaluru, et bientôt au-delà des frontières, avec un œil particulier sur l’Inde, la Corée, le Japon, l’Europe et les Êtats-Unis. L’avenir de l’IA en périphérie n’a jamais semblé aussi brillant, ou du moins, aussi bien financé.

Tandis que SiMa.ai prépare sa prochaine révolution microscopique, une chose est sûre : dans le monde de l’IA, mieux vaut avoir la puce à l’oreille !

Source : Techcrunch

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