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La science spatiale peut-elle révolutionner notre quotidien?

Comment un organisme initialement découvert sur un engin spatial peut-il révolutionner l’industrie des cosmétiques et plus particulièrement des crèmes solaires? Peu de gens sont conscients que la NASA, souvent associée à la conquête de nouveaux mondes spatiaux, déniche également de nouveaux écosystèmes microscopiques ici sur Terre. Mais quelle est l’histoire derrière cette découverte?

Il y a des années, Kasthuri Venkateswaran, un scientifique dédié à la décontamination des engins spatiaux en route pour Mars, a isolé une curieuse micro-organisme au bout de son écouvillon. Nommée bacillus pumilus, cette bactérie a démontré une résilience exceptionnelle, insensible aux méthodes de nettoyage standard telles que la lumière ultraviolette et le peroxyde. Mais comment cette découverte a-t-elle mené à des avancées significatives hors de notre stratosphère?

Envoyée à la Station spatiale internationale, cette souche a été exposée aux éléments spatiaux pendant 18 mois, survivant étonnamment à l’exposition au rayonnement cosmique. Ces résultats ont suscité un grand intérêt, mais qu’est-ce que cela signifie pour les applications pratiques sur Terre?

« Si cette bactérie était éliminée, ils déterminaient que cette salle blanche était aussi désinfectée que possible. »

Kyle Landry, ayant débuté sa carrière dans la science alimentaire pour ensuite s’immerger dans l’étude des extrêmophiles, a découvert une espèce de champignon extrêmophile inconnue jusqu’alors. Sa collaboration avec David Sinclair de la Harvard Medical School a conduit à l’exploration de l’utilisation des enzymes extrêmophiles pour contrer des menaces biologiques telles que l’anthrax. Mais comment cette recherche scientifique a-t-elle évolué vers des applications commerciales?

La découverte de centaines de formes de vie microscopiques résistantes chez la NASA a ouvert la voie à des recherches supplémentaires et à la commercialisation de ces organismes. Avec son expérience, Landry était au bon endroit au bon moment pour exploiter ces découvertes. Quelles opportunités cela a-t-il débloqué pour la recherche et l’industrie?

En collaboration avec NASA, l’entreprise a développé des composés protégeant le génome humain des effets néfastes des radiations cosmiques, un enjeu majeur pour les futures missions martiennes. Mais quelle était la prochaine étape de cette collaboration?

Les efforts de Venkateswaran pour améliorer les méthodes de nettoyage ont conduit à la découverte que le bacillus pumilus pouvait servir de témoin final pour l’éradication des contaminations dans les salles blanches. Cette souche a finalement trouvé une nouvelle application dans le domaine des cosmétiques, exploitée par une société du Massachusetts pour fabriquer un nouvel ingrédient de crème solaire. Mais comment cette transition s’est-elle matérialisée?

Le passage de la recherche spatiale aux produits de soin de la peau illustre une facette méconnue mais significative du travail de la NASA. Delavie Sciences, la société en question, a ainsi capitalisé sur les propriétés de résistance aux UV de la souche pour créer un ingrédient révolutionnaire. La trajectoire scientifique, de l’extrême du cosmos à l’extrême commercial, révèle les possibilités infinies des retombées technologiques spatiales. Mais jusqu’où ces innovations peuvent-elles nous mener?

Source : Mashable

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