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Credits image : Caspar Camille Rubin / Unsplash

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La mayonnaise IA : Quand la cuisine vectorielle rencontre le goût des données

« L’intelligence artificielle est comme la mayonnaise, quand elle réussit, c’est merveilleux; quand elle rate, ça reste sur l’estomac ! » Bienvenue dans le monde scintillant des bases de données vectorielles, l’ingrédient secret pour faire monter la mayonnaise IA.

Contrairement à leurs cousins relationnels, qui aiment tout aligner en rangs d’oignons (ou en colonnes et lignes pour être précis), les bases de données vectorielles préfèrent l’art abstrait. Imaginez transformer un Picasso en une série de nombres pour capturer l’essence même de l’œuvre, voilà ce qu’elles font avec nos données en pagaille. Que ce soit vos tweets, vos selfies ou même vos vidéos de chats, tout devient un joli vecteur numérique, prêt à être analysé.

« Ce n’est pas juste une question de rangement, mais de retrouver son chat dans l’enclos des tigres. »

L’IA, notamment les grands modèles de langage comme GPT-4 d’OpenAI, adore papoter avec ces bases de données. Pourquoi ? Parce qu’elles lui permettent de retrouver le fil de la conversation comme un pro. Et ce n’est pas tout, imaginez recommander la parfaite paire de chaussures à un client juste en analysant ses goûts en matière de biscuits. C’est la magie vectorielle à l’œuvre !

Par contre, là où il y a de la GénAI, il y a des hallucinations – non, pas le genre après une soirée trop arrosée – mais ces moments où votre IA vous sort des réponses plus farfelues qu’un lapin dans un chapeau. Les recherches vectorielles viennent à la rescousse en fournissant ce contexte oh combien nécessaire.

Dans le coin gauche, avec les bases traditionnelles, on joue du violon en attendant que la mélodie de nos données s’harmonise. Dans le coin droit, les bases de données vectorielles, les nouveaux chouchous, levant des millions comme si c’était la fin du monde. Qdrant, Vespa, Weaviate, Pinecone, tous dans la course, avec des mises de fonds dignes d’un film hollywoodien.

Ce n’est pas fini, les startups de l’IA avec leur magie vectorielle attirent l’argent comme des aimants. Marqo, transformant les données complexes en numéros danseurs, ou Lantern, le petit nouveau qui veut rendre Postgres jaloux, tous veulent leur part du gâteau vectoriel.

Mais attendez, ce n’est pas parce que c’est nouveau que c’est toujours mieux. Les bases de données ont leurs spécialités – comme les chefs étoilés – et cherchent à combiner le meilleur des deux mondes. Vous voulez du JSON dans votre SQL ? Pas de problème. De l’IA dans votre petite base de données cosy ? Les grands noms sont déjà sur le coup, ajoutant une pincée de recherche vectorielle pour épicer les choses.

Les bases de données vectorielles ? Un ingrédient de choix pour les chefs d’œuvre IA, mais attention à ne pas trop en mettre, au risque de ne plus retrouver votre recette originale. Et comme le dit le proverbe : on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, mais gare à ne pas transformer votre projet en cauchemar vectoriel !

Source : Techcrunch

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