« Dans le monde du tech, l’espionnage industriel est le nouveau soap opera. » Imaginez un peu le tableau : les satellites qui font de l’oeil aux drones, les logiciels qui murmurent des secrets défense à l’oreille des concurrents… Un vrai James Bond des temps modernes, sauf que cette fois, c’est la startup CesiumAstro qui joue les rôles principaux, avec AnySignal en guest-star trouble-fête.
Basée à Austin, CesiumAstro brille dans le ciel des entreprises tech depuis sept ans, non pas en étoile filante, mais en véritable supernova. Rien que ça ! Elle développe des systèmes radios et des antennes à formation de faisceaux active pour des clients qui font rêver : des vaisseaux spatiaux, des missiles et des drones. Avec plus de 100 millions de dollars en poche, entre financements privés et gouvernementaux, CesiumAstro a propulsé sa technologie comme personne. Mais un jour, comme dans toute bonne série dramatique, un twist survient.
Et quel twist ! AnySignal, la nouvelle startup qui vient de débarquer, est accusée rien de moins que de vol de secrets de fabrication et d’informations confidentielles, dérobés par un ancien dirigeant de chez Cesium, pour séduire icelle et flirter avec ses investisseurs. Le procès à peine lancé, les accusations fusent à la vitesse d’une comète traversant le système solaire.
« En mars, CesiumAstro dépose plainte, affirmant qu’un ancien vice-président a joué les espions pour le compte d’AnySignal. »
La trahison, selon CesiumAstro, vient de l’intérieur. Erik Luther, l’ancien VP Produit, aurait divulgué des secrets aussi sombres que l’espace lui-même. Avec une audace digne d’un film de science-fiction, Luther n’a pas rejoint AnySignal mais est resté dans la danse du secteur tech, gardant un pied dans la startup accusatrice grâce à ses « relations personnelles ». Une affaire digne de Mission Impossible.
Le CEO d’AnySignal et la startup concernée gardent le silence, façon trou noir, tandis que l’avocat de Luther riposte, clamant l’innocence de son client face aux allégations « inventées de toutes pièces ». Pendant ce temps, CesiumAstro envoie des signaux (pas si cryptés) qu’ils ne laisseront pas leur technologie être usurpée sans combattre, même si cela doit les emmener aux confins de la galaxie judiciaire.
L’histoire est encore en cours d’écriture, et on peut s’attendre à tout : rebondissements judiciaires, révélations explosives ou peut-être même un accord galactique ? Une chose est sûre, l’espace est peut-être infini, mais dans le monde de la tech, c’est la confiance qui est le plus en danger d’extinction.
Avec cette affaire, on est forcés de constater que même les technologies les plus pointues ne sont pas à l’abri des vieilles tactiques d’espionnage. Qui l’aurait cru ? À l’ère des satellites et des logiciels définis par radio, les secrets se transmettent toujours à l’ancienne. Et comme souvent, dans l’espace personne ne vous entendra crier… mais au tribunal, c’est une autre histoire !
Et pour conclure sur une note plus légère, souvenons-nous que dans l’espace, tout le monde peut entendre vos secrets, surtout si vous oubliez de désactiver votre micro avant de partir à la conquête de l’univers commercial. Ou comme dirait un célèbre astronaute des temps modernes : « Un petit pas pour Cesium, un bond de géant vers le tribunal ! »
Source : Techcrunch