« On ne peut prédire l’avenir, surtout pas dans le monde des startups, » comme dirait l’expert et ancien fondateur de Monzo Bank, Tom Blomfield. Ce vétéran du secteur, maintenant partenaire chez Y Combinator, nous plonge dans les dessous pas toujours reluisants de la levée de fonds. Attention, accrochez-vous : ça va secouer !
Ah, la levée de fonds, cette épopée plus tumultueuse qu’un épisode de Game of Thrones. Blomfield en sait quelque chose, lui qui a traversé ce chemin du combattant pour devenir une étoile lumineuse dans le ciel des startups britanniques. Entre vérités crues et langage fleuri, il dévoile sans détour ce que pensent vraiment les investisseurs quand ils disent « non merci ». Spoiler : ce n’est pas toujours parce que votre idée ne brille pas assez dans leur galerie de trophées.
Le saint Graal pour un investisseur ? Trouver la licorne qui ne connaître pas la crise, capable de multiplier la mise par 100, voire par 1000. Votre mission, si vous l’acceptez : convaincre que votre bébé startup a ce potentiel d’explosion, même si statistiquement, vous partez avec une chance sur cent. Facile, non ? Bon, peut-être pas tant que ça…
« Ce qui fait tourner le monde des investisseurs, ce ne sont pas les coups sûrs, mais les paris audacieux. »
Mais comment transformer un potentiel en véritable mine d’or ? Étape un : connaître son marché sur le bout des doigts, mieux que sa poche. Étape deux : montrer patte blanche et lumineuse, avec des données solides et une croissance qui fait rêver. Étape trois : avoir un marché tellement vaste devant soi que le terme « limites » semble être une légende urbaine. Rien que ça.
Ensuite, en bon magicien de la startup, il faut savoir créer la pénurie et la compétition parmi les investisseurs. Ah, la belle arnaque ! Non pas celle où l’on sort un lapin d’un chapeau, mais celle où l’on fait croire à chacun qu’il pourrait être le seul à ne pas participer à la prochaine success story. Et hop, le tour est joué, le chèque est signé.
En réalité, si les investisseurs semblent parfois aussi difficiles à lire que le Livre des Ombres, c’est peut-être parce qu’ils ne cherchent pas toute la vérité, mais simplement leur vérité. Une réalité où chaque « non » cache parfois un manque d’étoiles dans leurs yeux plus qu’un véritable défaut dans votre projet.
La morale de l’histoire ? Avant de jouer le jeu des chaises musicales avec les investisseurs, mieux vaut choisir ceux qui ne vous laisseront pas tomber au premier revers de fortune. Car, après tout, dans cette jungle, mieux vaut être bien accompagné pour ne pas finir comme le dîner du lion.
Et pour conclure sur une note aussi légère qu’un soufflé au fromage, n’oubliez pas : en levée de fonds, comme en amour, parfois il vaut mieux un bel échange de regards qu’un long discours. Ou, pour citer le grand philosophe contemporain : « c’est en forgeant qu’on devient forgeron, mais c’est en levant des fonds qu’on devient montgolfière ». Pas sûr que ce soit totalement exact, mais avouez que c’est inspirant !
Source : Techcrunch