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Credits image : Markus Winkler / Unsplash

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Lever de fonds… ou FONDations ?

« Quand la vie te donne du citron, fais-en de la limonade… ou lève des fonds pour une startup ! »

Jyoti Bansal, le fondateur en série qui a vendu AppDynamics à Cisco pour la modique somme de 3.7 milliards de dollars en 2017, est de retour avec Harness Lab. Cette fois, il a levé 425 millions de dollars, prouesse saluée par Crunchbase. Mais ne vous y trompez pas ! Harness ne fait pas que suivre les sentiers battus.

Le mardi, Harness a annoncé une nouvelle ligne de crédit de 150 millions de dollars. Oui, c’est bien une ligne de crédit, pas une nouvelle levée de fonds classique. Un choix audacieux pour préparer un futur possible IPO, surtout après avoir déjà pris 55 millions de dollars en dette l’année dernière.

Avec sa panoplie d’outils pour développeurs – pipeline CI/CD, dépôt de code, portail pour développeurs et support pour l’infrastructure en tant que code – Harness n’a pas fini de nous étonner. Ces nouveaux financements serviront probablement à étoffer encore plus cette boîte à outils magique ou à aller chasser de nouvelles acquisitions.

Cette stratégie innovante met Harness sur la rampe de lancement pour un IPO de haut vol.

Bansal voit dans ce choix de financement une manière efficace de recueillir des fonds sans diluer son capital. « La plupart des entreprises publiques s’appuient sur de la dette pour lever des capitaux, donc pourquoi pas nous ? », a-t-il confié à TechCrunch.

Avec des recettes annuelles récurrentes dépassant les 100 millions de dollars, Harness démontre sa robustesse. Et avec la récente nomination d’un Chief Revenue Officer et d’un Chief Financial Officer, tout semble pointer vers un avenir radieux en bourse.

Pour Bansal, réussir signifie trois choses : générer des revenus substantiels, être efficace (parce que Wall Street ne plaisante pas là-dessus), et croître rapidement. S’il réussit ce cocktail, il est persuadé qu’Harness pourra faire le grand saut vers le public.

Et n’oublions pas, Bansal n’a qu’un seul regret : ne pas avoir été le chef d’une entreprise publique. « C’est le prochain défi que j’attends avec impatience », a-t-il confié. Comme on dit, après avoir vendu un bijou avant son IPO, le destin veut qu’il mène sa nouvelle création jusqu’à la gloire boursière.

Le prêt de 150 millions de dollars provient de Silicon Valley Bank et Hercules Capital, Inc. Ils n’ont certainement pas tiré la langue pour cet investissement !

Source : Techcrunch

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