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Credits image : Markus Spiske / Unsplash

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Comment l’industrie du divertissement peut-elle protéger les célébrités de l’abus des clones IA ?

Comment les stars d’Hollywood peuvent-elles se protéger de l’utilisation abusive de leur ressemblance numérique ?

En première ligne de la protection des célébrités contre les dérives de l’intelligence artificielle (IA), l’agence Creative Artists Agency (CAA) se positionne comme pionnière. Mais quelles mesures concrètes prennent-ils pour parer à ces dangers ?

Avec la prolifération de deepfakes utilisant l’image et la voix de stars sans leur consentement, CAA réagit en créant le « CAAvault ». CAA collabore avec la société de technologie IA Veritone pour mettre à disposition de ses stars un système de stockage virtuel de leurs actifs numériques. Comment ce système fonctionne-t-il et quelles sont ses implications pour la vie privée des artistes ?

Face à cette annonce, on ne peut ignorer les récentes plaintes de célébrités comme Tom Hanks, trompé par une vidéo générée par IA promouvant un plan dentaire sans son accord. Les préoccupations juridiques affleurent : la législation actuelle protège-t-elle efficacement les droits des talents face à ces nouveaux défis technologiques ?

« Seule une poignée de nos clients utilisent actuellement le CAAvault, mais l’intention est d’étendre ce service à tous », déclare Shannon.

Le CAAvault garantit non seulement la protection des actifs numériques des talents, mais aussi leur rémunération équitable lorsque ceux-ci sont utilisés par des entreprises. Quels mécanismes sont en place pour s’assurer que cette rémunération soit correctement distribuée ?

Les débats tournent également autour de l’utilisation de clones IA de célébrités décédées, un sujet sensible pour les familles des défunts. Est-il éthique d’utiliser la ressemblance d’une star disparue pour de nouveaux projets ? Et comment garantir que cette utilisation soit toujours empreinte de respect et de consentement ?

En conclusion, alors que la CAA déploie ses efforts pour sécuriser l’avenir numérique de ses talents, la question se pose : l’industrie du divertissement est-elle prête à adopter ces nouvelles technologies tout en maintenant le respect des droits et de la dignité des artistes ?

Source : Techcrunch

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