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Comment l’Europe et les États-Unis gèrent-ils les défis de l’investissement en startups ?

Quels sont les principaux défis que rencontrent les startups européennes et américaines ? Cette semaine, à Londres, TechCrunch a exploré cette question lors de son événement StrictlyVC. En présence de Saul Klein, fondateur de LocalGlobe, et Raluca Ragab d’Eurazeo, des discussions ont mis en lumière les similitudes et différences entre les marchés du capital-risque des deux continents.

Les startups européennes, bien qu’enthousiasmées par des levées de fonds importantes, font face à des défis colossaux, notamment la proximité avec deux conflits majeurs et le manque de capitaux en phase avancée. Comment ces éléments influent-ils sur la dynamique du marché ? Malgré ces adversités, ce qui unit les deux marchés est une évidente pénurie de sorties, cruciales pour un retour sur investissement attendu par les investisseurs.

Mais qu’est-ce qui rend l’Europe si spéciale ? Selon Ragab, l’Europe a un avantage dans les domaines de la sécurité et de la confidentialité, de la durabilité et de la deep tech. Cependant, comment ces avantages se traduisent-ils réellement en opportunités ? De l’autre côté, comment les conflits en Ukraine et en Israël affectent-ils les entrepreneurs et investisseurs sur le terrain ? Les réponses apportées lors de cet événement StrictlyVC offrent des perspectives intrigantes.

Malgré les défis, l’optimisme envers l’innovation et le potentiel entrepreneurial demeure impérissable en Europe.

Saul Klein, bien que reconnaissant les avancées et atouts européens, souligne également le retard en matière de financement en phase avancée par rapport à la Silicon Valley. Un écart notable qui pose question : est-ce un terrain fertile pour l’innovation ou un obstacle à surmonter ? En fait, pour chaque 100 millions de dollars investis dans la Silicon Valley, l’Europe n’en investit qu’une fraction. Cette situation reflète-t-elle un marché plus prudent ou un manque de confiance envers ses propres potentialités ?

Les impacts des conflits géopolitiques sont également mentionnés, mais dans quelle mesure influencent-ils réellement les affaires ? Klein observe que les startups israéliennes, malgré la mobilisation de leur personnel, continuent de croître et d’attirer des capitaux. Que révèle cette résilience sur la robustesse des écosystèmes entrepreneuriaux régionaux ? D’autre part, Ragab suggère que le véritable impact se manifestera peut-être dans la politique intérieure des pays européens.

Enfin, la question du manque de capital tardif en Europe reste cruciale. Alors que certains investisseurs européens doivent gérer avec moins, cette situation pourrait-elle en fait rendre le marché plus stable et moins sujet à la volatilité ? Ragab propose une vision où l’absence de surabondance de capital est synonyme de stabilité. Est-elle réaliste ou trop optimiste ?

La réflexion se poursuit : quelles leçons l’Europe peut-elle tirer de la Silicon Valley pour rattraper son retard et, enfin, combler « le zéro manquant » ?

Source : Techcrunch

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