Matrix movie still

Credits image : Markus Spiske / Unsplash

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Entre tirs et manettes, que la bataille commence

« La vie, c’est comme un jeu vidéo : parfois tu gagnes, parfois tu réapparaît. » Chers lecteurs, préparez-vous à une plongée dans une histoire où la technologie, le divertissement et la tragédie se croisent de manière inattendue.

Actuellement, les familles des victimes de la fusillade de l’école primaire Robb à Uvalde, Texas, ont décidé de porter plainte contre des géants de la technologie : Activision et Meta, ainsi que le fabricant d’armes Daniel Defense. Oui, vous avez bien lu ! Les avocats de ces familles, menés par Josh Koskoff (un nom qui se prononce comme « kos-quoi ? » et dont les accomplissements laissent sans voix !), avaient déjà remporté une victoire contre Remington pour les familles des victimes de Sandy Hook.

Cette fois, l’argument est audacieux : le célèbre jeu vidéo « Call of Duty » d’Activision et la plateforme Instagram de Meta auraient participé à une campagne marketing déguisée en faveur de l’AR-15, une arme terrifiante. Le procès mentionne que « ces deux géants de la technologie ont collaboré avec l’industrie des armes à feu dans une combine qui fait passer la campagne Joe Camel pour une blague innocente et presque nostalgique. »

Quand la fiction dépasse la réalité, même les tribunaux sont pris de court.

Dans une déclaration publique, Activision a exprimé ses plus sincères condoléances aux familles et communautés touchées par cet acte de violence insensé, en ajoutant que «les recherches académiques et scientifiques montrent qu’il n’y a aucun lien de causalité entre les jeux vidéo et la violence armée.»

De son côté, Meta n’a pas encore fourni de commentaire additionnel. Cependant, on sait que le tueur d’Uvalde jouait à « Call of Duty: Modern Warfare » et qu’il était également ciblé par des publicités de Daniel Defense sur Instagram. Ironiquement, alors que Meta bannit la vente d’armes sur ses plateformes, les vendeurs d’armes reçoivent jusqu’à 10 avertissements avant d’être expulsés. Ah, les subtilités des règles du jeu, littéralement.

Et pour couronner le tout, un récent examen par le Stanford Brainstorm Lab, ayant épluché 82 articles de recherche médicale, conclut que « la recherche médicale et les études actuelles n’ont trouvé aucun lien de causalité entre jouer à des jeux vidéo et la violence armée dans la vraie vie. » Autant dire que le débat entre politiciens sur le sujet risque de prolonger encore un bon moment.

Alors, la prochaine fois que vous prendrez la manette ou que vous hésiterez à « liker » cette nouvelle photo sur Insta, souvenez-vous que la réalité virtuelle a parfois des ramifications bien trop réelles.

Source : Techcrunch

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