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L’avenir de la tech climatique est-il assuré?

Comment les entreprises de tech climatique peuvent-elles survivre à la bulle économique? Nombreux se sont laissés tenter par l’argent facile et les taux d’intérêt bas. Mais Clean Energy Ventures a choisi une autre voie. Pourquoi cette décision et quels ont été les résultats?

Dan Goldman, cofondateur de Clean Energy Ventures, a raconté à TechCrunch comment son entreprise a su éviter l’attrait de la bulle économique déclenchée par la pandémie de COVID-19. En dépit de fonds disponibles, ils ont opté pour une prudence maximale. Quelle sagesse les a guidés dans cette stratégie?

Pendant que la bulle éclatait, Clean Energy Ventures terminait son premier fonds et, fin 2022, commençait à en lever un deuxième. Rapidement, ils ont dépassé leur objectif initial de 200 millions de dollars, atteignant finalement 305 millions. Comment ont-ils réussi cette prouesse en période d’incertitude économique?

L’augmentation des fonds reflète un succès basé sur la prudence et une vision à long terme du marché climatique.

Certains investisseurs institutionnels ont montré un intérêt accru pour les investissements de pré-croissance. Cette stratégie inclue des chèques plus importants mais des technologies déjà dé-risquées et prêtes à entrer sur le marché. Quelles lacunes du marché cherchent-ils à combler avec cette approche?

Les investisseurs sont de plus en plus préoccupés par les défis que les startups de tech climatique, souvent hardware-dépendantes, rencontrent dans leur passage à la commercialisation. C’est ce qu’on appelle la « vallée de la mort » ou le problème des « premières du genre ». Quelles solutions envisagent-ils pour surmonter ces obstacles?

Pour Clean Energy Ventures, le nouveau fonds allouera 30% à 40% du capital à des investissements de suivi, avec des instruments financiers divers pour faciliter le passage à la croissance. Les chèques initiaux varieront entre 500,000 et 8 millions de dollars. Cette stratégie sera-t-elle suffisante pour garantir la survie et le succès des startups?

Parmi les investisseurs, on retrouve Builder’s Vision, Carbon Equity et la Grantham Foundation. D’autres investisseurs viennent de pays comme la Turquie, la Thaïlande et l’Allemagne, intéressés par des technologies qui réduisent les émissions de gaz à effet de serre. Pourquoi ces nations montrent-elles un tel intérêt pour les technologies climatiques?

Ils cherchent à intégrer plus de technologies dans leurs pays et à développer des bases manufacturières. Est-ce que l’intérêt global croissant pour les technologies durables indique une tendance durablement positive pour les startups de tech climatique?

Source : Techcrunch

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