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Boeing : Entre ciel et terre

“Quand on regarde les étoiles, on peut se demander pourquoi on se casse la tête avec des montées de tensions terrestres.”

Croyez-le ou non, NASA a été bien inspirée d’inclure SpaceX dans leurs plans spatiaux en 2014. Alors que Boeing, le vétéran des étoiles, jonglait avec des problèmes techniques à n’en plus finir, SpaceX menait déjà ses premiers astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS), un vrai jeu de chaises musicales.

SpaceX, cette petite entreprise « débutante », n’a pas seulement devancé Boeing, mais a aussi prouvé que l’expérience ne fait pas toujours l’expert. Tandis que Boeing faisait face à un nombre incalculable de fuites et autres tracas techniques, SpaceX accumulait les succès, mettant en orbite pas moins de 50 personnes depuis 2020.

Et voilà bientôt venu le moment de rédemption pour Boeing. Espérons que les sièges soient bien fixés cette fois-ci.

Boeing, avec son module Starliner, s’apprête enfin à envoyer deux astronautes chevronnés, Barry « Butch » Wilmore et Sunita « Suni » Williams, en orbite. Et cette fois, pas question de finir en Atlantique comme SpaceX. Non, Boeing a préféré une bande de sable au Nouveau-Mexique, histoire de finir sur une touche exotique.

Ce vol, débutant depuis Cape Canaveral, prévoit de poser le Starliner environ 250 miles au-dessus de la Terre, afin de vérifier tous les systèmes du vaisseau durant une semaine à l’ISS. Un vrai test grandeur nature pour Boeing, géré par la division défense et espace de l’entreprise, loin des mésaventures d’avions malmenés.

Malgré les multiples catastrophes techniques rencontrées jusqu’ici, Wilmore et Williams se disent confiants et prêts à embarquer. “Si on pouvait revenir trois ans en arrière et comparer les capacités de notre vaisseau, on verrait un énorme bond en avant”, assure Wilmore.

Alors, le 1er juin marquera-t-il enfin le grand retour de Boeing dans la course spatiale ? Bill Nelson, administrateur de la NASA, semble optimiste. Après tout, pourquoi stresser quand on peut tester ?

Une chose est sûre, ce lancement est très attendu. Et que ce soit la voie lactée ou une plage désertique en vue d’objectif, une chose est certaine : il vaut mieux avoir trop d’étoiles dans les yeux que de trous dans sa fusée.

Source : Mashable

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