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Les données des citoyens sont-elles vraiment en sécurité avec les autorités ?

Comment des informations aussi sensibles que celles des citoyens peuvent se retrouver entre les mains de criminels ? Deux hauts responsables de la police anti-terroriste au Bangladesh sont accusés d’avoir vendu des données confidentielles sur Telegram. S’agit-il d’un incident isolé ou d’une pratique courante ?

Selon un document signé par un haut responsable des services de renseignement bangladais, les données vendues comprennent des détails d’identité nationale, des relevés d’appels et d’autres informations extrêmement confidentielles. Quelles sont les répercussions d’une telle fuite pour la population ?

Cette lettre, datée du 28 avril et confirmée par le Brigadier Général Mohammad Baker, directeur du Centre national de surveillance des télécommunications (NTMC), révèle que deux agents ont accédé et transmis des informations sensibles en échange d’argent. Comment une telle violation de confiance a-t-elle pu passer inaperçue ?

L’investigation en cours vise à comprendre l’ampleur de cette trahison et à sanctionner les coupables.

Les enquêtes menées par le NTMC ont permis de découvrir que les agents en question ont consulté le système de surveillance bien plus souvent que leurs collègues, soulevant des questions sur la surveillance interne de ces accès. Cette affaire met en lumière les failles d’un système censé protéger les citoyens. Qui sera tenu pour responsable ?

L’un des agents impliqués est un superintendant de police de l’unité anti-terroriste, l’autre est assistante superintendant adjointe du bataillon d’action rapide, une unité paramilitaire controversée. Pourquoi ces agents, censés protéger le public, auraient-ils mis en danger la sécurité nationale en vendant ces informations ?

Le NTMC a pour mission de surveiller les communications téléphoniques et électroniques pour prévenir les menaces à la sécurité nationale. Cependant, des organisations comme Human Rights Watch critiquent un manque de garde-fous contre les dérives. Comment un tel appareil de surveillance peut-il garantir les droits des citoyens ?

Alors que l’enquête se poursuit, tous les accès au portail de la plateforme nationale de renseignements pour ces unités ont été suspendus. Le gouvernement prend-il suffisamment de mesures pour réparer cette perte de confiance, ou y a-t-il encore des zones d’ombre à explorer ?

Avec la révélation de cette affaire, ne devrait-on pas s’interroger sur l’efficacité des systèmes de protection des données au Bangladesh et ailleurs ? Quelles réformes sont nécessaires pour prévenir de tels incidents à l’avenir ?

Source : Techcrunch

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