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Post-quantique ou post-comique, telle est l’équation !

« Les mathématiciens n’arrêtent pas les balles, mais ils arrêtent les hackers. » Bienvenue dans le monde futuriste de la cryptographie post-quantique ! Imaginez un instant : PQShield, une start-up qui a pour mission de rendre nos données inviolables, même face aux ordinateurs quantiques du futur. On ne plaisante pas, ils viennent tout juste de lever 37 millions de dollars pour y parvenir. Une bagatelle, n’est-ce pas ?

PQShield, c’est un peu comme le super-héros de la cryptographie. Fondée par Ali El Kaafarani, un cerveau de l’Université d’Oxford, cette société recrute des talents et multiplie les partenariats avec les géants de l’industrie comme AMD, Nvidia, et même avec la Maison-Blanche ! Oui, oui, vous avez bien lu, ils conseillent jusqu’au sommet de l’État. Normal, avec une densité de cryptographes haute comme ça, on peut se permettre.

Cette levée de fonds de Série B, menée par la firme d’investissement Addition de Lee Fixel, représente un nouveau cap pour PQShield. Leur mission ? Faire face à la demande croissante de solutions de cryptographie post-quantique dans les industries. Parce que franchement, qui n’aurait pas envie de se préparer à une attaque de hackers quantiques grâce à du matériel et des systèmes ultrasophistiqués ?

Quand les normes nouvelles arrivent, tout le monde danse sur le même tempo.

Le timing est parfait, car le National Institute of Standards and Technology (NIST) aux États-Unis travaille depuis une décennie sur les standards de la cryptographie post-quantique. Attendez-vous à ce que les standards officiels soient publiés très bientôt. Dr El Kaafarani l’assure : « D’ici deux ou trois semaines, NIST publiera les standards après les brouillons d’août dernier. » Suspense, suspense !

PQShield n’est pas seul sur ce terrain, cependant. Xiphera, Post-Quantum, et même les mastodontes comme Palo Alto Networks les accompagnent dans cette course vers une sécurisation toujours plus forte des données. D’ailleurs, ce que l’on demande aujourd’hui à la cryptographie, c’est de protéger non seulement nos discussions sur les messageries mais aussi les données en entreprise et bientôt, celles manipulées par les applications d’intelligence artificielle. Et oui, l’IA aussi veut sa dose de sécurité !

Avec ses solutions innovantes intégrant des systèmes sur puce, des kits de développement cryptographique pour mobiles et serveurs, et des outils spécialisés pour les services de messagerie, PQShield prouve qu’elle ne joue pas juste dans la cour des geeks, mais bien dans celle des grands du commerce. Rien d’étonnant alors que les investisseurs se pressent à sa porte, prêts à soutenir la révolution quantique de la sécurité numérique.

Comme disait si bien l’investisseur Fixel : « Nous sommes impatients de voir l’entreprise protéger notre futur numérique. » Et en parlant d’avenir, peut-être qu’avec une telle équipe, nos ordinateurs auront bientôt besoin de capes et de masques !

Source : Techcrunch

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