Eurêka! Les mystères de Fisker enfin dévoilés! Vous savez, l’entreprise d’Henrik Fisker, ce visionnaire des voitures électriques qui, ironiquement, a du mal à faire démarrer son entreprise. Vous pensiez que les voitures électriques étaient dans l’air du temps? Eh bien, attachez vos ceintures, car l’histoire de Fisker est pleine de virages inattendus.
Imaginez une scène digne d’un film d’action : en août 2023, alors que Fisker se vante de ses grands projets lors de l’ « Product Vision Day », en coulisse, l’entreprise est déjà en pleine tourmente financière. Henrik Fisker affirme que l’entreprise va redéfinir le marché avec des modèles innovants comme un pickup électrique et une EV à bas coût. Mais, en réalité, les dettes de Fisker montent en flèche.
Et là, plot twist! Fisker cherche désespérément un partenariat pour éviter le naufrage, avec des discussions avancées avec (roulement de tambour) Nissan! Mais ces négociations traînent et finissent par tomber à l’eau. Résultat? Fisker stoppe sa production et annonce la procédure de faillite au début de cette année.
À trop vouloir conduire le marché, Fisker s’est retrouvé dans le fossé.
Mais que faire des 4300 SUV Fisker Ocean non vendus? Une solution rapide est trouvée: les vendre à une mystérieuse entreprise de leasing. Un peu comme trouver un trésor au pied de l’arc-en-ciel, n’est-ce pas? Tout cet argent ira directement à Heights Capital Management, le plus grand créancier de Fisker, qui a prêté plus de 500 millions de dollars à l’entreprise en 2023.
Mais attention, ce n’est pas tout. Fisker doit encore 183 millions $ à Heights et d’autres créanciers. L’entreprise espère vendre ses équipements spécialisés – imaginez 180 robots de montage et une ligne de carrosserie sous-utilisée! Fisker avait aussi des projets avancés pour une nouvelle voiture abordable, la Pear EV, et un pickup, mais avec toutes les dettes, l’avenir de ces projets est encore plus incertain qu’une connexion Wi-Fi dans une zone rurale.
Pour couronner le tout, l’ingénierie derrière ces nouveaux modèles lui vaut une poursuite judiciaire par l’ancien partenaire de développement, Bertrandt AG. Où sont passés les 600 millions $ que Fisker doit à ses créanciers non garantis? Personne ne semble avoir la réponse.
En conclusion, Fisker, qui était autrefois un rêveur audacieux dans le monde des véhicules électriques, se retrouve aujourd’hui dans une impasse. Avec seulement 400 employés restants (contre 1600 à son apogée), et environ 4 millions $ en banque, l’avenir de Fisker semble aussi statique qu’une batterie déchargée. Si seulement ils avaient mis autant d’énergie dans leurs finances que dans leurs batteries!
Source : Techcrunch
