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Création par les humains, une solution aux défis des droits d’auteur face aux IA ?

Comment les créateurs peuvent-ils protéger leurs œuvres contre l’utilisation par les IA ? En 2024, cette question est sur toutes les lèvres. Chaque semaine, de nouvelles plaintes émergent contre les entreprises de l’IA générative, les accusant de se servir des œuvres sans permission.

Le vrai problème ici est l’absence de cadre juridique clair concernant la violation des droits d’auteur dans le contexte de l’entraînement des IA. Que peuvent faire les créateurs pour se défendre ?

Entrez en scène Created by Humans, une société récemment créée par Trip Adler, ancien PDG de Scribd. Quelle est la mission de cette nouvelle entreprise ? Offrir une place de marché où les créateurs peuvent directement licencier leurs œuvres aux modèles de langage (LLM). Est-ce la solution tant attendue ?

Created by Humans espère devenir la norme pour la gestion des droits des auteurs vis-à-vis de l’IA.

Pourquoi le concept d’Adler attire-t-il autant l’attention ? En partie grâce aux 5 millions de dollars de financement réunis, provenant d’investisseurs influents comme David Sacks et Mike Maples. En outre, l’auteur à succès Walter Isaacson a également investi et agit comme conseiller créatif. Ces soutiens solides suffiront-ils à garantir le succès de l’entreprise ?

Mais Created by Humans n’est pas la seule sur ce créneau innovant. D’autres entreprises comme Human Native, fondée par un ancien ingénieur de Google DeepMind, explorent également ce marché prometteur. Ces initiatives parviendront-elles à créer un écosystème stable et bénéfique pour tous les partis concernés ?

Actuellement, Created by Humans propose une plateforme où les auteurs peuvent soumettre leurs œuvres et où les entreprises d’IA peuvent acheter des éléments spécifiques avec des droits d’utilisation prédéfinis. La complexité des accords de licence représente-t-elle un obstacle majeur ou une opportunité pour affiner et stabiliser le processus ?

Mais quelle est cette « Quatrième Loi » dont parle Adler ? Inspirée par les fameuses lois des robots d’Isaac Asimov, elle propose que les humains aient le droit de consentir et de contrôler l’utilisation de leurs œuvres par les IA, et d’être rémunérés ou crédités en conséquence. Cette philosophie pourrait-elle devenir la nouvelle norme en matière de gestion des droits d’auteur face aux IA ?

Le futur de l’industrie du livre : une révolution ou une simple évolution ? Adler envisage déjà des modèles de revenus basés sur l’IA, potentiellement plus lucratifs que les e-books et les livres audio. Cela suffira-t-il pour revitaliser une industrie qui en a bien besoin ?

Source : Techcrunch

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