Pourquoi la NASA a-t-elle choisi SpaceX pour mision de de-orbitage de la Station spatiale internationale (ISS) en 2030 ? Est-ce une étape significative pour cette entreprise spatiale privée, ou marque-t-elle la fin d’une ère pour l’ISS ?
La NASA a récemment annoncé avoir sélectionné SpaceX pour développer un vaisseau spatial capable de faire désorbiter l’ISS à la fin de la décennie. Cette mission, estimée à environ 843 millions de dollars, pose des questions cruciales : pourquoi maintenant et quels sont les enjeux de cette décision audacieuse ?
Alors que l’ISS approche de la fin de sa vie opérationnelle, l’attention se tourne vers les futures stations spatiales commerciales. Comment ces nouvelles stations pourraient-elles remplacer l’ISS, et que signifie cette transition pour l’exploration spatiale ?
Le développement du véhicule de désorbitation américain promet des défis techniques et logistiques importants pour SpaceX.
Peu d’informations ont été révélées sur ce véhicule, baptisé U.S. Deorbit Vehicle par la NASA. Contrairement aux capsules Dragon de SpaceX, connues pour transporter cargo et équipages vers l’ISS, ce nouveau vaisseau sera transféré à la NASA une fois développé, pour être opéré durant toute sa mission. Quels sont les risques associés à la réentrée atmosphérique de l’ISS, et comment SpaceX compte-t-il les minimiser pour assurer la sécurité des zones peuplées ?
Le contrat de lancement du véhicule ne sera révélé qu’à une date ultérieure. Cette décision a été préférée à l’option d’utiliser le vaisseau Progress de l’agence russe Roscosmos, jugé inadapté après des études approfondies. La conception d’un nouveau vaisseau était donc indispensable. Comment cette collaboration internationale influence-t-elle la gestion de la fin de vie de l’ISS, et quelles sont les contributions financières des partenaires mondiaux impliqués dans cette mission ?
Pour conclure, quels enseignements tirerons-nous de cette mission historique ? Comment cette mission de désorbitage influencera-t-elle le futur de nos ambitions spatiales ?
Source : Techcrunch