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Comment certaines firmes de capital-risque parviennent-elles à lever des fonds malgré la crise ?

Pourquoi certains fonds de capital-risque continuent-ils à prospérer alors que d’autres peinent à attirer des capitaux ?

Nombreux sont les fonds de capital-risque (VC) qui connaissent aujourd’hui des difficultés à capter de nouveaux capitaux de la part de leurs propres investisseurs, surtout dans un contexte où les introductions en bourse sont moins nombreuses. Comment expliquer cette situation ? Ce sont souvent les entreprises de renom, celles qui ont déjà établi leur marque dans le domaine, qui parviennent encore à attirer des fonds conséquents. Une iniquité flagrante, non ?

Par exemple, Kleiner Perkins a récemment annoncé avoir clôturé plus de 2 milliards de dollars de nouveaux capitaux répartis sur deux fonds. Une croissance notable par rapport aux 1,8 milliard de dollars levés lors de leur précédente collecte en début 2022. Comment cette entreprise parvient-elle à surmonter la crise ?

Certaines firmes de renom continuent à défier la crise actuelle de levée de fonds.

D’autres firmes prestigieuses comme Andreessen Horowitz, avec ses 7,2 milliards de dollars, et General Catalyst, prêt à clôturer une levée de 6 milliards de dollars, illustrent également cette résilience. Norwest n’est pas en reste avec 3 milliards de dollars levés. Quelle est la recette de leur succès dans un environnement aussi difficile ?

Kleiner Perkins a précisé dans un article de blog qu’elle continuera d’investir dans des startups spécialisées dans les logiciels d’entreprise, la consommation, la santé, la fintech et la technologie matérielle — des secteurs déjà familiers pour elle. Mais désormais, l’opportunité réside dans l’amélioration de ces industries grâce à l’IA. L’intelligence artificielle serait-elle la clé de la compétitivité future ?

La firme soutient déjà quelques startups prometteuses axées sur l’IA, telles que Glean, un outil de recherche pour applications professionnelles, et Harvey, un assistant IA pour les avocats. Néanmoins, comparé à d’autres grandes firmes de capital-risque, les investissements de Kleiner Perkins dans des entreprises d’IA de premier plan restent modestes. Alors, investissent-ils suffisamment dans l’avenir ?

Créée en 1972, Kleiner Perkins était autrefois considérée comme l’une des firmes les plus prestigieuses de la Silicon Valley, ayant soutenu des géants tels qu’Amazon, Netscape et Sun Microsystems. Même si elle a perdu une partie de son éclat pendant la dernière grande vague technologique, elle a tout de même investi dans des réussites notables comme Airbnb et Robinhood. La firme pourrait-elle renouer avec sa gloire passée grâce à l’IA ?

Alors, quelles stratégies devraient adopter les autres firmes de capital-risque pour résister aux turbulences actuelles et attirer de nouveaux capitaux ?

Source : Techcrunch

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