a large stained glass window in a dark room

Credits image : Josh Eckstein / Unsplash

Intelligence ArtificielleSociétéTechnologie
0

Perplexity AI sur un fil : Ctrl+C ou Ctrl+V?

“La technologie c’est comme la cuisine : il ne suffit pas de suivre la recette, il faut savoir adapter et innover à chaque instant.”

Bienvenue dans le monde curieux de Perplexity AI, une startup qui mélange moteur de recherche et modèle de langage. Plutôt sympa, non? Mais comme disait ma grand-mère, « trop de sucre ruine le gâteau », et Perplexity est accusé d’avoir la main trop lourde avec le contenu web, notamment en mode « plagiat à la sauce nouvelle technologie ».

Fondée sur une idée qui pourrait sembler éthique et sympa, Perplexity n’a pas son propre modèle de langage. Elle se contente de piocher dans ce qui est déjà disponible sur le net. Pourquoi créer du nouveau quand on peut trouver des pépites prêtes à consommer? Malheureusement, Forbes et Wired pensent que ces pépites appartiennent à quelqu’un d’autre.

Les recettes du web et des droits d’auteur semblent bien confuses pour Perplexity AI.

Quand Wired a vu leur contenu résumée et réutilisé par Perplexity, ils n’étaient pas ravis du tout. Ils ont même créé un site factice pour tester si Perplexity allait simplement copier-coller – et devinez quoi? C’est exactement ce qui s’est passé! Forbes n’était pas plus content, accusant Perplexity de piller leur scoop sur des drones militaires futuristes.

Dimitry Shevelenko, le chef d’orchestre chez Perplexity, affirme que répondre à des requêtes directes des utilisateurs n’est pas vraiment du « scraping ». Vous savez, comme donner un bonbon à quelqu’un qui le demande. Cependant, Wired et Forbes voient cela d’un autre œil, se demandant si ce n’est pas simplement de l’exploitation déguisée en service client.

Les problèmes de droits d’auteur et le protocole d’exclusion des robots sont au cœur du débat. D’un côté, Perplexity jure qu’elle respecte les règles en ne « grattant » pas les sites sans permission explicite. De l’autre, observer l’IP de Perplexity fouiner partout semble raconter une autre histoire. Visite-et-copie ou recherche légitime? La ligne est floue.

Pour tenter de calmer la tempête, Perplexity propose des accords de partage de revenus publicitaires avec les éditeurs. En gros, lorsque des articles sont cités dans des résumés, les éditeurs reçoivent une part du gâteau publicitaire. Une solution sucrée, mais est-ce vraiment la solution ultime pour apaiser les papilles des éditeurs?

Au final, toute cette histoire nous rappelle que, quand il s’agit de récupérer du contenu, mieux vaut ne pas trop « gratter » si on ne veut pas se brûler les ailes. Parce que dans le monde de l’IA, une fois les ponts brûlés, il ne reste plus qu’à inventer une machine à remonter le temps!

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.