Cherchant une fois, vous trouverez peut-être une intelligence artificielle cachée derrière chaque coin ! C’est un peu le motto de notre temps. Et la nouveauté du moment ? La fonctionnalité Previews de Poe, qui compte bien changer la donne.
Imaginez cela : vous bavardez innocemment avec votre chatbot préféré, que ce soit Claude d’Anthropic ou GPT-4o d’OpenAI, et vous lui dites de transformer les données d’un rapport en une présentation interactive et digestible. Presto ! Vous avez une app à l’écran. Oui, c’est du futur en barre !
Et ce n’est pas tout ! Previews permet d’exploiter plusieurs chatbots à la fois, par exemple Meta’s Llama 3 et GPT-4o, en piochant des infos provenant de fichiers uploadés, y compris des vidéos. Partagez ensuite votre chef-d’œuvre tech avec vos amis via un simple lien. Quoi ? Vous ne vous sentez pas l’âme d’un développeur codeur ? Pas besoin ! Poe s’occupe de tout.
« Quora parie gros sur l’avenir interactif et personnalisé des chatbots. »
Les Previews de Poe ne sont pas sans rappeler les Artifacts d’Anthropic, des espaces de travail dédiés où les utilisateurs peuvent peaufiner le contenu généré par l’IA. Mais là où Artifacts se limite aux modèles d’Anthropic, Previews permet des sorties HTML – avec du CSS et du JavaScript en prime. Cerise sur le gâteau, Poe promet encore plus de fonctionnalités à venir.
Quora soutient que Previews fonctionne mieux avec des chatbots capables en programmation comme Claude 3.5 Sonnet, GPT-4o et Google’s Gemini 1.5 Pro. Eh oui ! C’est un terrain de jeu pour les geeks et les as du code.
Par contre, avant de trop rêver, sachez que ces Previews nécessitent le plan premium de Poe, à 20 dollars par mois. Alors, oui, votre serviteur n’a pas pu tester la création d’applications en mode Previews. Cependant, quelques démos traînent sur le web, et elles donnent une idée assez sympa du potentiel.
La sortie de Previews arrive justement à un moment délicat pour Poe : une enquête de Wired a révélé que Poe permet de télécharger des articles protégés par un paywall. Pas banal comme histoire ! Quora nie évidemment les accusations en envoyant ses chatbots en première ligne pour le prouver.
En tout cas, entre querelles et innovations, ces chatbots nous montrent bien que tout n’est jamais aussi simple qu’il n’y paraît. Ah, l’ère du numérique ! Toujours prête à nous surprendre, même avec des batailles judiciaires !
Et maintenant, on commence peut-être à comprendre ce que dirait notre cher chatbot : « S’il y a un bug, c’est probablement humain ! »
Source : Techcrunch