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OpenAI à l’épreuve des lanceurs d’alerte : y a-t-il un abus de pouvoir?

Quelles sont les pratiques d’OpenAI envers ses employés et leurs relations avec les régulateurs gouvernementaux?

Des révélations troublantes ont été faites au sujet d’OpenAI. Des lanceurs d’alerte anonymes accusent l’entreprise d’avoir imposé des restrictions illégales sur la manière dont les employés peuvent communiquer avec les régulateurs gouvernementaux. Mais à quoi ressemblent exactement ces accusations?

Une lettre obtenue par le Washington Post, adressée au président de la Securities and Exchange Commission (SEC) Gary Gensler, mentionne une plainte formelle demandant à la SEC d’enquêter sur les accords de départ d’OpenAI. Ces accords incluraient des clauses de non-dénigrement et de non-divulgation qui poseraient problème. Quels sont les abus rapportés?

Les mesures draconiennes d’OpenAI pourraient-elles décourager d’autres lanceurs d’alerte d’intervenir à l’avenir?

Selon la lettre, les accords interdiraient et décourageraient les employés et les investisseurs de communiquer avec la SEC sur des violations de la loi sur les valeurs mobilières. De plus, les employés seraient contraints de renoncer à leurs droits à des incitations et compensations en tant que lanceurs d’alerte, et devraient informer l’entreprise avant de communiquer avec les régulateurs. OpenAI entraverait-elle la justice?

En outre, il est allégué que les précédents accords de non-divulgation (NDAs) d’OpenAI violaient la loi en obligeant les employés à signer des contrats restrictifs de manière illégale pour obtenir un emploi ou des paiements de départ. OpenAI a-t-elle vraiment enfreint la loi pour protéger ses intérêts?

Lorsqu’on lui a demandé de commenter, OpenAI n’a pas immédiatement répondu, bien qu’un porte-parole ait assuré que leur politique sur les lanceurs d’alerte protège le droit des employés à faire des divulgations protégées. Le sénateur Chuck Grassley s’est aussi exprimé, affirmant que les politiques d’OpenAI concernant ces accords créent un effet dissuasif pour les lanceurs d’alerte. Le gouvernement fédéral doit-il légiférer pour corriger cela?

Enfin, les accords de départ d’OpenAI avaient déjà été critiqués plus tôt cette année pour des dispositions qui auraient privé d’équité les anciens employés s’ils refusaient de les signer ou violaient leurs NDAs. Le PDG Sam Altman avait présenté ses excuses, précisant que l’entreprise travaillait déjà sur une révision de ces documents. Mais, cela suffira-t-il pour apaiser les critiques?

Source : Techcrunch

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