« Dans un monde dominé par l’IA, même les robots cherchent à comprendre ces humains si imprévisibles. »
Ah, l’IA générative, la nouvelle lubie techno qui promet de transformer nos vies professionnelles – vous savez, à la manière d’un film de science-fiction des années 80. Et si vous ne montez pas dans le train en marche, préparez-vous à finir relégué à l’histoire, comme une vieille cassette VHS.
Mais avant de plonger tête baissée dans cet océan de promesses futuristes, les entreprises demandent des preuves concrètes. C’est bien joli de dire que votre chiffre d’affaires va exploser grâce à l’IA, mais on veut voir des vrais résultats, pas uniquement un discours de vendeur de tapis.
Cette course à l’IA ressemble parfois plus à un marathon où tout le monde espère avoir une médaille d’or… sans jamais avoir couru.
Jamin Ball, investisseur et chroniqueur de la Clouded Judgement newsletter, se demande si les entreprises ont réellement le choix. Selon lui, il faudra peut-être des années avant de voir les résultats tant espérés de l’IA, laissant les dirigeants dans l’embarras pour justifier une telle dépense face à un CFO scrutateur.
Pour certains, investir dans l’IA s’apparente au virage crucial de l’ère de l’électricité au 18ème siècle. Ignorer l’IA aujourd’hui revient à préférer la vapeur à l’électricité, en risquant de se faire complètement vaporiser par la concurrence.
Et si les entreprises ont du mal à se débrouiller seules, elles pourraient bien se tourner vers des experts comme Deloitte ou Accenture pour obtenir de l’aide. Ironie du sort, ce choix va juste gonfler encore plus la facture et allonger le délai avant de voir des résultats.
Comme le chantait si bien Jerry Garcia des Grateful Dead: « You can’t go back and you can’t stand still. If the thunder won’t get you, then the lightning will. » Les DSI doivent, au choix, marcher tambour battant vers l’avenir ou risquer de dépenser en pure perte. Mais entre nous, mieux vaut un éclair de génie qu’une grêle d’ennuis!
Source : Techcrunch