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Est-ce l’attractivité technologique qui propulse les ventes du Prime Day d’Amazon ?

Pourquoi Amazon continue-t-il d’attirer autant d’acheteurs lors de ses Prime Day ? C’est une question qui mérite qu’on s’y attarde, surtout après les résultats impressionnants de l’édition 2024.

Les consommateurs américains ont dépensé 14,2 milliards de dollars les 16 et 17 juillet, selon Adobe Analytics. Une hausse significative de 11% par rapport aux 12,7 milliards de l’année précédente. Alors, qu’est-ce qui a motivé cette augmentation des dépenses ?

Le premier jour, les clients ont déboursé 7,2 milliards, soit une hausse de 11,2% par rapport à l’année précédente. Quelle était l’attraction principale cette année, que ce soit pour le second jour avec 7 milliards de dollars dépensés ? Pourquoi cette tendance haussière continue-t-elle ?

Est-ce l’intervention de l’assistant IA Rufus qui a fait pencher la balance ?

En effet, l’assistant Rufus d’Amazon a aidé des millions de clients. Est-ce que cette aide technologique explique en partie l’explosion des ventes ? Adobe signale une augmentation de 18% des achats via téléphone, représentant 49,3% du total des achats. Est-ce que la facilité d’achat joue un rôle crucial ici ?

Les catégories d’électronique et de mobilier ont particulièrement bien performé. Les ventes liées à la rentrée scolaire ont aussi connu une forte croissance. Est-ce que les rabais ont été suffisamment attractifs pour influencer les achats dans ces catégories spécifiques ?

D’après Numerator, la valeur moyenne des commandes sur les deux jours était de 57,97 dollars, contre 56,64 dollars en 2022 et 53,14 dollars en 2021. Ces chiffres montrent clairement une tendance à la hausse. Vivek Pandya, analyste chez Adobe Digital Insights, affirme que ces catégories représentent presque la moitié des dépenses en e-commerce, avec une croissance modeste durant le premier semestre 2024. Est-ce l’effet Prime Day qui a stimulé ces secteurs en particulier ?

Enfin, la manière dont les consommateurs financent leurs achats évolue. Adobe révèle que les commandes utilisant le « buy now pay later » (BNPL) ont totalisé 1,08 milliard de dollars, soit 7,6% des ventes. Est-ce une indication que les acheteurs recherchent plus de flexibilité dans leurs paiements ? La prévision pour le total des dépenses de consommation en juillet est de 84,4 milliards, une hausse de 8,2% par rapport à 2023.

Source : Techcrunch

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