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De la Politique au Pixel Près

« Même les caméléons pourraient prendre des leçons de ces faussaires ! » Voilà comment pourrait commencer notre aventure numérique d’aujourd’hui.

Meta, le géant des réseaux sociaux, a récemment démasqué une bande de petits malins qui ont tenté de créer un faux groupe politique appelé « Patriots Run Project ». Leur but ? Convaincre les Américains de se lancer en politique pour défier l’élite républicaine et démocrate. En utilisant des comptes bidons, ces filous ont ciblé principalement l’Arizona, le Michigan, le Nevada, l’Ohio, la Pennsylvanie, le Wisconsin, et la Caroline du Nord. Et au passage, ils ont claqué 50 000 $ en publicités Facebook. Quand on aime, on ne compte pas, hein ?

Selon le rapport de Meta, ce n’était pas la première fois qu’ils essayaient de faire passer leurs idées pro-Trump et anti-establishment. Le groupe prônait des valeurs « traditionnelles », la sécurité aux frontières, le droit aux armes à feu et, bien sûr, la lutte contre la fraude électorale. Comment ont-ils réussi à faire tout ça ? Eh bien, ils se sont procuré des comptes factices du Bangladesh et ont utilisé des proxys pour se faire passer pour des Américains bien plantés dans les États ciblés. Astucieux, non ?

En résumé, Meta a mis fin à la supercherie avant qu’elle ne prenne trop d’ampleur, mais le Patriots Run Project est encore actif ailleurs sur la Toile.

Non seulement Meta a réussi à stopper ces imposteurs avant qu’ils n’aient une large audience, mais il semble qu’ils ont quand même réussi à convaincre un homme du Montana de se présenter au Congrès. Et devinez quoi ? L’histoire ne s’arrête pas là ; le Patriots Run Project était aussi actif sur X (pour les connaisseurs de l’époque Twitter) et leurs sites web sont toujours en ligne. Parions qu’ils ne manquent pas de ressources !

En préparation des élections présidentielles américaines, Meta garde un œil aiguisé sur les campagnes de désinformation, notamment celles venant de Russie. David Agranovich, directeur de la politique de sécurité de Meta pour la perturbation des menaces, affirme que les Russes continueront probablement à pimenter le débat, surtout en ce qui concerne le soutien à l’Ukraine. Bref, il y en aura pour toutes les couleurs politiques.

Avec tous ces chameaux numériques qui essaient de vous mener en bateau, souvenez-vous : sur Internet, on ne sait jamais vraiment qui se cache derrière un écran. Restez vigilants et ne croyez pas tout ce que vous voyez. Après tout, un compte fake peut en cacher un autre… ou 124 !

Source : Engadget

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