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La montée vertigineuse de World Labs!

« Pourquoi les start-ups aiment-elles les montagnes russes ? Parce qu’elles adorent les hauts, surtout ceux qui leur rapportent des millions ! » Et c’est exactement ce que World Labs, une start-up discrète mais ambitieuse, a réussi à faire en quelques mois seulement.

Fondée par la célèbre professeure d’IA de Stanford, Fei-Fei Li, World Labs a levé deux tours de financement en l’espace de deux mois. La dernière levée, dirigée par NEA, a fait grimper la valorisation de l’entreprise à plus d’un milliard de dollars. TechCrunch a découvert que ce dernier tour de table, rapporté par le Financial Times en juillet, s’élevait à 100 millions de dollars.

La première levée de fonds en avril évaluait la start-up à 200 millions de dollars et incluait des investisseurs tels qu’Andreessen Horowitz et Radical Ventures, une société canadienne où Li est partenaire scientifique. Ni Li ni NEA n’ont souhaité commenter cette montée fulgurante.

World Labs, le bébé prodige de l’IA, atteint des sommets vertigineux en un temps record.

Passer de la fondation à l’unité économique en quatre mois témoigne du fait que les investisseurs misent gros sur les start-ups d’IA fondées par des scientifiques de renom, même si les entreprises n’ont pas encore fait leurs preuves. World Labs travaille sur des modèles d’IA capables d’estimer avec précision la physicalité tridimensionnelle des objets et environnements réels, permettant ainsi des répliques numériques détaillées sans avoir recours à une collecte massive de données.

Fei-Fei Li, surnommée « la marraine de l’IA », a évoqué dans un TED talk comment les machines peuvent être formées pour développer une « intelligence spatiale » humaine.

Un investisseur, bien informé sur les méthodes de World Labs, a noté qu’il existe très peu de données tridimensionnelles dans le monde. « Les entreprises de véhicules autonomes collectent des données en conduisant des milliers de kilomètres pour créer ces données, qu’elles utilisent ensuite pour former leurs machines. Pour toutes les autres applications, collecter ces données est coûteux et complexe.

Les modèles de World Labs pourront ensuite être utilisés dans les jeux vidéo et la robotique. Li est surtout connue pour son travail sur ImageNet, un ensemble de données qui a révolutionné la vision par ordinateur. Actuellement, elle est en congé partiel jusqu’en décembre 2025 de son rôle de co-directrice de l’Institut d’IA centrée sur l’humain de Stanford.

En conclusion, il est clair que World Labs a pris le monde de l’IA d’assaut. Et comme on dit dans le jargon de la tech, « Quand ça marche, ça cartographie ! »

Source : Techcrunch

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