« Si tu ne peux pas les convaincre, embrouille-les avec des faits farfelus. » Voilà qui semble être le mantra actuel de nos chers investisseurs tech. Aujourd’hui, je vous emmène dans une saga truculente à la sauce Silicon Valley, où milliardaires et accusations fusent comme des start-ups sur le marché.
Ça commence avec Ben Horowitz, grand manitou du capital-risque, qui s’est lâché sur X (anciennement Twitter) accusant le Standard, financé par Michael Moritz, un autre magnat du secteur, de préparer un « torchon bon marché » à son encontre. Et pourquoi pas l’accuser de comploter avec les Illuminatis pendant qu’on y est ?
Quand les grandes tetes s’affrontent, ce sont les petites lignes qui en disent le plus.
Bien sûr, tout cela a déclenché une tempête aussi virale qu’un mème de chat mignon. Marc Andreessen, partenaire de Horowitz, n’a pu s’empêcher d’ajouter son grain de sel et quelques insultes bien senties dans l’affaire. On aura tout vu : des guerriers de l’ombre qui s’affrontent à coups de tweets assassins.
Le Standard, quant à lui, joue la carte de la discrétion. Son rédacteur en chef, Jon Steinberg, confirme qu’un article sur les Horowitz est en préparation, mais reste aussi mystérieux qu’un développeur sur sa date de livraison. Et Moritz ? Silence radio.
Mais où est la ligne entre l’information et l’influence ? Ce n’est pas la première fois que le Standard titille les intrigues de la Silicon Valley. Entre terrains agricoles et rivalités de magnats, les pages de ce journal deviennent de vrais best-sellers du bras de fer financier.
En guise de conclusion, on peut dire que l’encre de la tech vaut autant que l’or noir, surtout quand elle est trempée dans le sarcasme et la suspicion. À défaut d’élucider ce mystère, j’espère au moins vous avoir fait sourire. Après tout, les guerres d’égo, c’est comme les bugs logiciels : inévitables, mais toujours cocasses.
Source : Techcrunch
