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Credits image : Austin Distel / Unsplash

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Redalpine : La capitale du risque, sans faux pas !

Alors, prêts pour une balade en hélice dans l’univers du capital-risque? On dit souvent que si vous êtes assez chanceux, vous faites votre propre chance. Eh bien, Redalpine, une entreprise suisse de capital-risque, semble avoir trouvé la recette secrète.

En ce début de 2024, tandis que de nombreux fonds de capital-risque ne rapportent même pas un café latté à leurs investisseurs, Redalpine a annoncé un septième fonds de démarrage de 200 millions de dollars. Oui, encore un, et il est déjà sursouscrit! Eh oui, ça marche fort du côté de Zurich.

« Quand les autres trébuchent, Redalpine galope. »

Orchestrés par Michael Sidler et son acolyte Peter Niederhauser, Redalpine mise sur une tactique bien huilée : investir dans la technologie profonde européenne. Ces messieurs ont démarré leur aventure en 2006 et à force de travail acharné, ils ont accumulé un joli pack d’actifs sous gestion d’un milliard de dollars. Une performance annuelle moyenne de 24 % sur la dernière décennie, ce n’est pas rien !

Avec ce nouvel élan, Redalpine compte investir dans 15 à 20 entreprises européennes en phase de démarrage. Quelques noms font déjà parler d’eux, comme la startup allemande Proxima Fusion. Et bientôt, ils ouvriront une antenne à Londres pour être encore plus près de l’action. Après tout, de bonnes connexions universitaires et une flopée de cerveaux scientifiques, ça ne se construit pas en un jour.

Redalpine ne s’arrête pas seulement aux licornes fintech comme N26 et Taxfin. Non, ils explorent aussi des terrains plus émergents. La diversité sectorielle est leur mot d’ordre, que ce soit dans l’énergie, la santé ou l’alimentation. C’est cette flexibilité qui les a aidés à manœuvrer pendant les périodes plus agitées, comme celles de 2022-2023. En 2024, ils continuent à surfer sur cette vague de succès.

Un autre atout chez Redalpine, c’est l’expertise scientifique. Près de la moitié de leurs professionnels de l’investissement ont des diplômes en sciences ou en ingénierie. Ça aide incontestablement à discuter d’égal à égal avec les fondateurs scientifiques et à donner un sérieux coup de pouce opérationnel aux startups prometteuses comme Aktiia.

Oui, Redalpine a un flair pour dénicher les pépites des laboratoires universitaires. Prenons par exemple ExpressionEdits, un dérivé de l’Université de Cambridge. Cette start-up génétique utilise l’IA pour améliorer l’efficacité des thérapies de gène. C’est là que se dessine le futur, selon Sidler : un carrefour technologique alimenté par l’IA et les avancées en biotechnologie.

Alors, pour ceux qui pensent que le capital-risque est une danse compliquée sous une pluie de chiffres, Redalpine prouve qu’avec le bon partenaire, on peut écumer le dancefloor technologique sans faux pas. Comme disent les initiés : le secret, c’est de mettre ses œufs dans plusieurs paniers, surtout quand ces paniers sont intelligents et bien connectés.

Source : Techcrunch

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