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Fleet peut-elle maintenir sa croissance sans financement externe ?

Pourquoi ne parle-t-on pas plus souvent des entreprises autofinancées dans les médias ?

Alors que les startups soutenues par le capital-risque font souvent les gros titres avec leurs levées de fonds impressionnantes, des entreprises comme Fleet, basées à Paris, restent moins médiatisées. Fleet n’a jamais levé de fonds externes et pourtant, elle a su croître de manière soutenue. Mais comment une telle entreprise réussit-elle à se démarquer dans un écosystème si compétitif ?

Au départ, Fleet proposait uniquement un service de location de matériel informatique, permettant aux entreprises de louer des ordinateurs portables plutôt que de les acheter. Pensez-vous que ce modèle économique pourrait devenir la norme ? En plus de cette offre de matériel, Fleet a récemment diversifié ses services pour inclure la gestion des appareils, la cybersécurité et les assurances. Cette transformation est-elle la clé de leur succès continu ?

En tant qu’entreprise autofinancée, Fleet a dû optimiser ses opérations pour rester aussi légère que possible. Par exemple, l’absence de stockage et l’envoi direct des appareils aux clients. Mais cela suffit-il pour maintenir une rentabilité à long terme ? En collaborant avec des institutions financières, Fleet a également minimisé les risques financiers liés aux défauts de paiement, tout en élargissant son marché à des produits diversifiés tels que les smartphones et les meubles.

« Nous croyons que proposer une solution tout-en-un grâce au leasing informatique nous positionne stratégiquement auprès des clients. »

Fleet n’a pas échappé aux défis du marché français des startups, marqué par des levées de fonds de plus en plus difficiles et des licenciements multiples. Alexandre Berriche, cofondateur et PDG de Fleet, déclare que cette récession a paradoxalement aidé l’entreprise à diversifier ses revenus. N’ont-ils jamais envisagé de lever des fonds auprès des VC ? La réponse est catégorique : non. Pour Berriche, l’argent n’est qu’un facilitateur, pas une solution magique.

La diversification de la clientèle est une autre stratégie majeure de Fleet. L’entreprise compte maintenant 1 500 clients, principalement des PME non soutenues par des VCs, réparties dans 120 pays. Fleet a-t-elle trouvé la recette magique pour croître sans lever de fonds ? Leur meilleur mois en termes de revenus a été juillet 2024. Est-ce un indice de leur succès durable ?

Fleet s’efforce de devenir une solution unique pour les PME en matière de gestion informatique. Est-ce là une tendance de fond qui pourrait transformer le paysage technologique ? D’autres entreprises comme Hofy, récemment acquise par Deel, adoptent également des modèles similaires, ce qui montre que le concept gagne en popularité. Alors, quelles seront les prochaines étapes pour Fleet dans cet environnement en constante évolution ?

Source : Techcrunch

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