3 men standing on rocky shore during daytime

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Boeing, mais toujours rêvant !

« Si les astronautes pouvaient tweeter depuis l’espace, on aurait sûrement déjà eu #LandingFails. »

Ah, Boeing et ses coups de théâtre. Si vous pensiez que les navettes spatiales c’était juste un aller-retour, détrompez-vous! La saga de la capsule Starliner de Boeing s’est achevée (enfin, pour l’instant) de la manière la plus dramatique possible. Samedi dernier, tout juste après minuit, la capsule est retombée sur Terre, manquant de peu le fameux « atterrissage parfait » à White Sands Space Harbor, Nouveau-Mexique.

Ironie du sort, ce n’est pas avec les astronautes Butch Wilmore et Suni Williams à bord que la capsule a fait son retour, mais en mode autonome, telle une voiture sans chauffeur sur mars. Nos deux astronautes sont restés confortablement installés à l’ISS, bénéficiant peut-être d’une séance de Netflix interstellaire. Ils devaient initialement revenir tous ensemble, mais suite à des soucis techniques, ils reviendront finalement sur Terre grâce à une capsule Dragon de SpaceX, prévue pour février prochain.

Tout n’était pas parfait, mais c’était quand même incroyable.

Lors de la conférence de presse, Steve Stich, manager du programme commercial de l’équipage de la NASA, a trouvé des mots magnifiques pour décrire cette mission : « darn near flawless » (presque parfaite). Mais soyons honnêtes, personne ne veut « presque » quand il s’agit de missions spatiales ! Il y avait une petite déception palpable dans l’air. Stich a rappelé que le plan initial était de ramener Butch et Suni à bord de Starliner, mais bon, la technologie et ses caprices… Vous connaissez l’histoire.

En parallèle, la saga des fusées de Blue Origin fait également frémir. L’énorme New Glenn de Jeff Bezos devait lancer deux satellites vers Mars pour la NASA. Mais surprise ! NASA a annoncé un report à cause de quelques « détails » de coûts et de potentiels problèmes de défueling. Quand on parle de milliards de kilomètres et de milliards de dollars, mieux vaut ne rien précipiter.

Enfin, petit moment émotion : souvenons-nous de Frank Culbertson, le seul Américain hors de notre planète lors des attaques du 11 septembre. Depuis la Station Spatiale Internationale, il a capturé des images saisissantes de ce tragique événement. Voir la fumée depuis l’espace, c’est le genre de contraste qui vous rappelle notre petite place dans cet immense univers.

Pour conclure, avec tous ces rebondissements spatiaux imprévus, on se dit : « L’espace, ce n’est pas de la rocket-science, c’est carrément un feuilleton à rebondissements ! »

Source : Techcrunch

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